Biz&Bibs podcast

Alors qu’elle travaille dans le marketing dans une grande boîte, Emmanuelle Beck enchaîne les soirées et les verres, pour suivre une vie sociale qui la fait se sentir mieux intégrée.

Mais quand elle tombe enceinte, Emma déchante : elle qui a le goût des bonnes choses ne se retrouve pas dans les alternatives sans alcool proposées aux femmes enceintes, trop souvent pleines de sucres ou peu raffinées.

Elle continue de ne pas trouver son bonheur après son accouchement, en plus d’être confrontée à des remarques du style “tu ne bois pas ? Ah t’es pas drôle” ou le fameux “tu es enceinte ?”, auquel toute femme qui ne boit pas, a droit .

C’en est assez, c’est décidé : Emma va le faire. Elle va la créer, sa propre alternative raffinée aux cocktails alcoolisés, pour permettre à tous de profiter de moments sociaux sans se sentir exclus ou jugés.

Alors qu’elle pensait avoir sa carrière toute tracée, c’est cette décision, et l’envie de créer un projet porteur de sens pour sa fille, qui amène Emma à tout bouleverser.

En 3 ans, Emma enchaîne la fin de son CDI, des études de naturopathie, le développement de Maison Sovage, sa marque de cocktails, un challenge HEC, une période en incubateur, et une fille et deux belles-filles à élever.

Alors, comment on fait pour tout combiner ?

Comment on fait, pour écouter son instinct, et suivre des études longues alors même que l’on a une vie de famille à gérer ?

Comment on fait, pour se faire une place sur un marché premium quand on est une jeune marque sans antécédents ?

Découvrez cela dans l’épisode.

Est-ce que l’entrepreneuriat féminin est si différent de l’entrepreneuriat masculin ?

C’est ce qu’a voulu savoir WILLA, l’incubateur de start-ups féminines, en lançant une étude sur le gender-gap dans l’entrepreneuriat avec Roland Berger et France Digitale. Plus de 500 entrepreneurs et entrepreneuses françaises ont été interrogés sur leur parcours et leur vision d’entrepreneurs.

Et les résultats sont édifiants : domaines, maturité du projet, âge à la création de l’entreprise, levée de fonds… les femmes entreprennent différemment sur presque tous les points.

Mais alors pourquoi ? Est-ce dû à l’éducation que l’on recevrait ?

À la société patriarcale qui transmet malgré tout des clichés de genre ? Est-ce dû à la maternité, qui impose une pause dans la carrière des femmes ?

J’ai creusé ces questions avec Flore Egnell, Déléguée Générale de WILLA. Dans cet épisode, Flore nous partage ce qu’elle et WILLA ont appris sur l’entrepreneuriat féminin au travers de toutes leurs années d’expérience et l’étude spéciale sur le gender-gap.

Elle nous livre un portrait encourageant de l’entrepreneuriat féminin en France – où l’inspiration, les bonnes idées et les success stories sont là – mais où il reste un long travail à faire sur la déconstruction des discriminations et clichés de genre, notamment dans la levée de fonds.

Alors, en quoi l’entrepreneuriat féminin est-il différent du masculin ? Je vous laisse découvrir ça, dans l’épisode.

Il déconstruit la société patriarcale au travers d’un des podcasts les plus écoutés de France. Cédric Rostein est le papa et podcasteur engagé derrière Papatriarcat, un podcast qui déconstruit les clichés autour de la paternité et la maternité, tout en explorant diverses formes de parentalité.

Pourtant, cet ancien employé de Mac Donald et la FNAC n’aurait jamais imaginé devenir entrepreneur, et encore moins être à la tête d’un podcast cumulant plus de 2,5 millions d’écoutes.

Manager et employé heureux, c’est quand sa femme Noëlla tombe enceinte de leur premier enfant que le monde de Cédric se voit chamboulé. Lui qui navigue entre Bordeaux – son foyer – et Poitiers – son boulot, rêve de plus de flexibilité pour vivre avec passion son nouveau rôle de père.

C’est finalement en subissant un harcèlement moral qui le forcera à quitter son poste qu’il se retrouve à la maison, le cœur comblé par la naissance de sa petite fille Sarah, mais l’esprit avide de s’occuper à nouveau.

Et s’il partageait avec le plus grand nombre tout ce qu’il a appris pour se préparer à l’arrivée de sa fille sur l’éducation bienveillante au travers d’un podcast ? Ce qui démarre comme un hobby et une envie de répondre aux interrogations qu’on lui fait sur ses choix de papa, devient très rapidement un succès fulgurant. C’est alors que Cédric envisage sérieusement de faire de Papatriarcat sa nouvelle activité.

Mais alors, comment monétiser un podcast sans compromettre sa vision engagée de la paternité ? Comment gérer de front une émission, l’écriture d’un livre, une activité de coach et une petite fille que l’on éduque à la maison ?

Dans cet épisode, Cédric se livre sans tabou sur la naissance de Papatriarcat, et comment il est devenu le pionnier d’un mouvement qui remet en question les stéréotypes de genre dans la parentalité.

Devenir maman sans sacrifier son style vestimentaire. Quand Johanna Femenia devient mère, elle s’équipe comme beaucoup de parents d’un sac à langer. Mais cette addict des jolis bijoux et sacs déchante face aux modèles proposés sur le marché : des sacs cubes trop sobres, trop petits et bien souvent peu réutilisés une fois le bébé devenu grand.

C’est ainsi que sans forcément le vouloir, Johanna se lance dans l’entrepreneuriat.

Du bricolage de son premier sac à langer adapté à ses goûts, à des discussions avec un ami styliste, c’est quand Johanna suit une formation pour les marques dédiées à la famille qu’elle se dit qu’elle est désormais embarquée trop loin dans son idée pour que celle-ci ne soit qu’un “projet”.

C’est ainsi que naît Adorna, une marque de sacs à langer et d’accessoires modernes qui suivent les femmes dans leur rôle de mère mais aussi dans tous les rôles qu’elles endossent au quotidien. A

Dans cet épisode, Johanna nous livre l’histoire de son déclic particulier qui l’a poussée à lancer sa propre marque dans un secteur très compétitif.

Elle explique avec franchise les stratégies qu’elle a adoptées pour démarrer sur de bonnes bases et faire d’Adorna un business rentable ces quatre dernières années.

Entre son parcours d’entrepreneuse déterminée et sa vie de maman engagée, son expérience est un modèle de mompreneuriat à la fois lucide et inspirant.

Bien qu’elle n’ait jamais imaginé devenir entrepreneuse, ni même aspiré à l’être, Johanna n’a jamais regretté son choix.

Se lancer dans l’entrepreneuriat pour avoir du temps pour sa fille, mais kiffer être sa propre cheffe et mieux gagner sa vie.

C’est l’histoire d’Anaïs Derenne, fondatrice de Beauboulot, une société qui accompagne les recruteurs et dirigeants qui souhaitent découvrir et développer les SOFTSKILLs, les compétences douces, de leurs futures recrues et collaborateurs.

Recruteuse passionnée pendant plus de 10 ans, c’est lors de sa grossesse qu’Anaïs envisage l’entrepreneuriat. Elle qui adore son métier et ne compte pas les heures se projette tout à coup dans une vie de famille dont elle a toujours rêvé, et sait que le temps est une ressource précieuse qu’elle ne veut pas laisser filer. 

Dans cet épisode, Anaïs partage sa vision du « mompreneuriat », explorant comment elle combine la vie d’entrepreneuse et de maman. Elle explique comment son exigence au travail la pousse à se surpasser pour bien gagner sa vie tout en profitant de sa famille.

Anaïs aborde également la difficulté de séparer les sphères professionnelles et personnelles, ainsi que les nombreux obstacles et stéréotypes qu’elle a dû mettre de côté pour entreprendre avec plus de sérénité.

Découvrez le portrait d’une entrepreneuse bosseuse et déterminée, et d’une maman ambitieuse et impliquée.

Dessiner pour partager les galères de son nouveau rôle de mère.

Ce qui commence comme des petits sketchs partagés sur Facebook à ses amis devient petit à petit un véritable exutoire. Alors que Zoéli n’arrive pas à créer du lien avec son fils et traverse – sans le savoir – une dépression post-partum, Zoéli dessine pour partager ses états d’âme, car si elle les traverse, peut-être que quelqu’un d’autre les vit aussi ?

C’est finalement en entamant une thérapie EMDR après 2 ans de souffrance que Zoéli revit, et prend conscience de sa dépression post-partum sévère.

Toujours en quête de partager ce qu’elle traverse, elle continue de dessiner, et c’est finalement sous le pseudonyme Zoéli Illustrations sur Instagram que ses planches trouvent un écho insoupçonné.

Dans cet épisode, Zoéli nous partage sans tabou les dessous de sa vie d’auto-entrepreneuse et illustratrice, un métier passion si important pour les autres, mais si précaire.

Elle nous racontera son combat contre l’administration pour obtenir une considération de son nouveau métier. Elle parlera également de sa dépression post-partum et de sa thérapie salvatrice avec Linda, thérapeute canadienne spécialisée dans l’EMDR, qu’elle racontera dans la bande-dessinée “Merci mon fils”.

Le café, les couches… et des jeux de cartes pour refaire le monde du post-partum avec humour. C’est en voulant alléger le nouveau quotidien de ses copines jeunes mamans que Célina Buttin-Hécquart se lance – presque sans le vouloir – dans la création de jeux destinés aux parents.

Avec la TribuKaféKouche, sa marque, Célina créée une série de jeux de cartes autour de thèmes clés de la nouvelle parentalité. Yakafokon, pour booster la répartie parentale et répondre aux commentaires non-sollicités, le KoléSerré, pour doper la complicité des jeunes parents…

Mais dans des produits aux apparences légères se cachent des thèmes plus lourds et beaucoup plus complexes, comme la dépression post-partum qu’elle a elle-même vécu après la naissance de ses jumeaux, le baby clash, ou le difficile retour en entreprise après un congés maternité ou paternité.

Comment concevoir et vendre des jeux encore inédits en France ? Comment animer une campagne de crowdfunding alors même que l’on est maman de trois enfants en bas âge ? Comment se démarquer pour être financé ?

Dans cet épisode, Célina aborde sa soif d’entreprendre et celle d’aider les autres mères en dépression post-partum comme elle à s’en sortir.

Elle évoque l’importance de l’équilibre pro / perso, et l’ancrage que ses enfants représentent pour elle malgré son quotidien d’entrepreneuse bien chargé.

Surtout, elle donne une véritable leçon de business avec un produit inédit qui se décline à l’infini, et toujours plus d’idées pour aborder la parentalité et avoir envie de jouer…

C’est en devenant maman pour la seconde fois qu’Emmanuelle Schaedele Giroire a voulu poser sur papier l’histoire du deuil terrible qu’elle a vécu alors qu’elle n’avait que 24 ans. Alors fiancée, Emmanuelle perd l’amour de sa vie dans un tragique accident.

Des années plus tard, à la naissance de sa fille, Emmanuelle – appelée Emma dans cet épisode, est prise d’une envie: celle de coucher sur papier son histoire pour transmettre à ses enfants cette partie de sa vie qui a forgé la personne qu’elle est aujourd’hui.

En pleine pandémie mondiale, entre télé-travail et vie de maman, Emma trouve la force insoupçonnée de rédiger ce livre, “Il faut toujours se dire au revoir”.

Mais très vite, en voulant l’éditer, elle se rend compte que publier ses écrits est infiniment compliqué. Et si, au lieu d’essuyer d’autres refus, elle le faisait elle-même ?

Employée de jour, Emma se lance dans la création d’une maison d’édition la nuit.

Dans cet épisode plein d’émotions, Emmanuelle se livre avec une sincérité bouleversante sur son parcours, sa passion pour l’écriture, son rôle de mère apparu comme une évidence, et son ambition insatiable de publier, malgré tous les obstacles qu’elle a pu rencontrer…

Emménager dans une nouvelle ville, et ne pas trouver de mode de garde pour son enfant. Ce problème traversé par de nombreux parents, Marine Alari l’a vécu de plein fouet quand elle a déménagé à Bordeaux avec son conjoint entrepreneur et son petit bébé.

Pour rencontrer d’autres mamans et occuper son bambin, Marine imagine des rendez-vous dans un salon de thé. Elle comprend vite que les parents autour d’elles rêvent d’une solution hybride entre mode de garde, espace de travail et lieu social pour leurs enfants.

Ni une, ni deux, Marine entreprend de créer le Kocon, un espace coworking unique rattaché à une crèche afin que les parents entrepreneurs comme elle puissent développer leur activité et laisser leur bébé entre de bonnes mains.

Mais comment lever des fonds pour un projet immobilier aussi ambitieux ?

Et comment gérer de front ce projet unique, un petit de 2 ans, et une nouvelle grossesse, apprise quelques jours avant de pitcher devant Réseau Entreprendre ?

Dans cette interview, Marine nous racontera son parcours unique de consultante financière à entrepreneuse, les nombreux rebondissements qu’elle a traversé pour développer le Kocon, et comment son ambition l’a aidé à prouver que oui, on peut concilier maternité et entrepreneuriat sans avoir à choisir…

Se trouver une nouvelle voie professionnelle grâce au manque de sommeil. C’est littéralement ce qu’a fait Candice Turjman quand elle est devenue maman.

En suivant un coaching pour améliorer le sommeil de sa fille, elle découvre une nouvelle voie qu’elle ne connaissait pas : celle d’aider des parents épuisés à retrouver le calme et la sérénité grâce à de l’accompagnement très rôdé sur le sommeil des bébés.

En bonne marketeuse, Candice décide de poster sur les réseaux sociaux ce qu’elle découvre et apprend lors de sa formation certifiée sous le nom drôle et bienveillant La Fête du Sleep, S-L-E-E-P.

Face à son succès, ce qui n’était qu’un complément d’activité s’impose alors comme une carrière à tracer.

Mais comment prendre son courage à deux mains pour tout quitter alors qu’on est habitué au salariat et que l’on est maman d’une si petite fille ?

Dans cette interview, Candice nous racontera le déclic qu’elle a eu pour le coaching en sommeil des bébés, comment elle a réussi à jongler boulot, bébé, vie amoureuse et nouvelle activité, et comment elle essaie de déculpabiliser les parents grâce à un accompagnement bienveillant.

L’un des plus grands challenges de la maternité ? S’habiller ! Et oui, bien loin d’être futile, le sujet des vêtements est un véritable casse-tête.

C’est en tout cas ce qu’a vécu Pauline Chamfeuil lors de sa propre grossesse en 2020. Alors qu’elle doit progressivement changer sa manière de s’habiller, cette chef de produit chez Dior s’amuse à modifier ses vêtements pour les adapter à son corps changeant. C’est en documentant les coupes qui lui vont et qui ne lui vont pas que germe l’idée de créer une marque de vêtements de grossesse que l’on pourrait reporter après.

Alors même qu’elle vient de donner naissance à un petit Tom, Pauline décide de donner vie à un autre bébé : Monaloa.

Mais comment développer sa propre marque quand on n’a jamais entrepris de sa vie ? Comment se faire une place sur le marché de la maternité déjà saturé et du textile aux prix qui ne cessent de flamber ?

Dans cette interview, Pauline nous raconte comment sa grossesse a été le déclic pour créer sa propre marque, et aider d’autres femmes à s’habiller enceinte et après. Découvrez une histoire portée par la mode, une histoire d’amour entre Paris et Bordeaux, et un volcan ancien nommé Monaloa…

Elle a ému la France entière lors de son passage à Qui Veut Devenir Mon Associé en février dernier. Sa poussette Limo qui se transforme en poussette double en un simple geste est à la fois un produit révolutionnaire pour les parents de deux enfants, et le projet de toute une vie.

Bénédicte Perrot est une entrepreneuse passionnée, de ces personnes qui feraient tout pour donner vie à leurs rêves.

Cette maman solaire a tout recommencé quand pendant son 3ème congés maternité, la boîte où elle travaillait a fermé.

A 40 ans passés, elle se lance corps et âme dans l’aventure entrepreneuriale pour développer cette poussette dont elle aurait tant rêvé pour son quotidien de chef de meute.

Mais comment garder le cap et l’optimisme, quand on se lance dans un marché ultra compétitif que l’on ne connaît pas, et que l’on se confronte au monde impitoyable de l’industrie et de la création d’entreprise ?

Dans cette interview, Bénédicte se livre en toute sincérité sur son parcours de combattante pour donner vie à sa marque Vidiamo. Elle nous raconte sa première carrière dans le luxe, et les 10 longues années de développement de la Limo, son 4ème bébé.