Quand on travaille en tant que freelance, il faut bien sûr définir son offre et ses spécialités. Mais très vite, il devient utile d’analyser les autres offres proposées en réalisant un mapping concurrentiel.

Comment faire un mapping concurrentiel quand on est freelance ? Je vous donne mes conseils. 

Qu’est-ce qu’un mapping concurrentiel ?

Le mot “mapping” vient de “map”, qui signifie carte en anglais. Ainsi, le mapping concurrentiel consiste à faire une étude de la concurrence sous une forme graphique, qui permet ensuite de voir au premier coup d’œil les actions à mettre en place pour se démarquer. 

Ce mapping se réalise au moment de l’étude de marché. On place sur un graphique comprenant deux axes ses principaux concurrents en fonction de critères prédéfinis. Cela permet de voir les points communs et différences entre les marques, entreprises, ou dans notre cas, les freelances.

Les critères possibles d’un bon mapping

Exemple mapping concurrentiel

En fonction de votre domaine d’activité, les dénominations des axes de votre mapping peuvent être différentes. En effet, un graphic designer n’aura pas la même façon de communiquer qu’un codeur en informatique.

Voici une liste non-exhaustive de critères qui correspondent au monde du freelancing : 

  • Local / National (ou international)
  • Une spécialité / offre diversifiée
  • Fort personal branding / peu de personal branding
  • Tarif journalier élevé / tarif journalier faible
  • Type de clients : PME / Type de clients : grandes entreprises

Comment trouver ses concurrents en tant que freelance ?

Il y a plusieurs méthodes simples pour comparer rapidement vos concurrents entre eux, ou par rapport à votre activité. 

Faire une étude de concurrence sur Google

Selon votre positionnement, il suffit de taper des mots dans la barre de recherche. Par exemple, si vous souhaitez vous positionner sur votre zone géographique vous pouvez taper “freelance informatique Caen”, ou “freelance webdesigner Lyon”. 

De cette manière, vous pourrez consulter les sites web des autres personnes et voir les services proposés, ou même la présentation de ce dernier. Vous pourrez ainsi noter toutes les idées qui vous plaisent et vous en inspirer pour votre propre site. 

Consulter les sites de mise en relation freelance

En regardant les plateformes de freelancing, vous pourrez généralement voir les tarifs de vos concurrents ainsi que leurs offres. 

Par exemple, sur Malt, Upwork ou Fiverr, vous pourrez consulter le tarif journalier en fonction de l’expérience. 

C’est aussi un bon moyen de s’inspirer du personal branding de vos concurrents, pour rédiger des descriptions attrayantes.

Enfin, grâce à ces sites regroupant profils de freelances et offres d’entreprises, vous pourrez rapidement analyser quelles sont les tendances actuelles du marché. 

Regarder les profils sur Linkedin

S’inscrire sur Linkedin est un incontournable pour booster sa vie professionnelle quand on se lance en freelance. C’est aussi un réseau social parfait pour observer les compétences de chacun et les parcours professionnels.

Grâce au moteur de recherche intégré vous pourrez facilement trouver des profils de freelance aux activités similaires aux vôtres.

Analyser la concurrence pour mieux se démarquer

Grâce à l’observation des différents profils, vous avez dû remarquer les personnes qui se rapprochent du vôtre.

C’est le moment de comparer vos expériences, vos offres, et vos tarifs, afin de faire le point sur ce que vous pouvez apporter en plus.

1ère étape : identifier les concurrents proches

En identifiant les concurrents les plus proches de soi (en fonction des critères choisis), il est facile de se rendre compte des forces et faiblesses de chacun. Généralement, étudier votre concurrence vous aidera à définir ce que vous ne voulez pas faire, et quelles sont les personnes qui pourraient être votre concurrent direct.

Cela vous permettra d’orienter vos axes d’amélioration de manière à avoir l’offre la plus qualitative possible. Si votre secteur est très concurrentiel, il est parfois préférable de changer d’axe pour se diriger vers un domaine où il y a moins d’offres.

2ème étape : augmenter sa part de marché

Pour limiter au maximum la concurrence directe, il faut choisir une part de marché disponible et dans laquelle il est possible de grandir.

Par exemple, si vos concurrents sont majoritairement positionnés sur une offre moyen de gamme, vous pouvez envisager de passer sur du haut de gamme. À vous de voir en fonction de votre mapping et de votre marché les opportunités à prendre pour vous démarquer. 

Mapping concurrentiel en freelance : le mot de la fin

Bien sûr, le mapping concurrentiel est un travail interne qui vous servira à vous et ne sera pas communiqué publiquement, puisqu’il s’effectue au début du lancement de son projet de freelance. Il permet de vous guider sur le positionnement à adopter et les offres à proposer.

Cependant, il est important de continuer à étudier la concurrence pendant tout son parcours de freelance pour veiller à ne pas avoir de retard sur les dernières tendances.

Cela vous permettra aussi de voir ce qui fonctionne chez les autres et que vous pourrez appliquer pour fixer vos objectifs, mais aussi ce qui ne fonctionne pas du tout. 

N’hésitez pas à noter les concurrents que vous étudiez, de manière à comparer les mêmes critères à chaque nouvelle recherche. 

Lorsqu’on débute en tant que freelance, de nombreuses questions se posent, comme “comment bien définir ses objectifs ?” ou “Comment trouver ses premiers clients ?”.

Mais la question des prix est toujours celle qui soulève le plus de questions. Sur Internet, certains secteurs, comme les prestataires de services marketing, cachent bien leurs tarifs et prix pour leurs différents services. Impossible quand on se lance d’avoir un peu d’inspiration, ou de savoir comment bien tarifer ses services. Alors, quelle réflexion mettre en place pour fixer ses prix en freelance ?

Dans cet article, je vous guide sur l’importance de bien fixer ses tarifs en tant que freelance et je vous livre mes conseils pour trouver le prix juste pour vos missions.

Les questions à se poser pour définir ses prix en freelance

Avant de fixer vos prix, vous devez réfléchir à plusieurs paramètres évidents. Par exemple, quel est le prix minimum pour lequel vous acceptez de travailler ? Il s’agit ici d’un prix “psychologique” important, car en dessous vous n’aurez pas la motivation nécessaire pour mener à bien vos missions. Vous pouvez par exemple vous posez cette question pour votre tarif horaire, ou par rapport à une prestation donnée.

Faites ensuite le calcul de vos charges, puis réfléchissez au “reste-à-vivre” que vous souhaitez avoir. Ce montant va vous permettre d’affiner vos objectifs en termes de facturation pour vivre correctement.

Parmi les charges, il faut penser à : vos cotisations sociales, le prix des logiciels ou des ressources nécessaires à votre activité, votre loyer ou crédit, et vos factures fixes. Selon que vous soyez sous le régime de la micro-entreprise ou que vous ayez un statut société, le montant des charges sociales oscille entre 22% et 50%.

Important : le régime de micro-entreprise ne permet pas de justifier de dépenses professionnelles, et ainsi de récupérer une partie lorsque vous payez vos impôts. Ce critère est à prendre en compte lorsque vous devez choisir votre statut juridique de freelance et calculer en amont les différentes charges mensuelles que vous aurez.

Les différentes manières de fixer ses tarifs

Il existe différentes manières de fixer ses tarifs, notamment : le taux horaire, le taux journalier et le forfait. À vous de réfléchir à l’option la plus intéressante en fonction de chaque client. En effet, rien ne vous empêche de facturer un client au forfait et un autre à l’heure ! 

Définir son taux horaire

Il s’agit du taux horaire minimum pour lequel vous acceptez de travailler. N’oubliez pas que le taux horaire est donné “brut”, il faudra donc ensuite retirer les charges pour obtenir votre taux horaire net.

Si vous avez tendance à travailler vite, il n’est pas forcément intéressant pour vous de facturer à l’heure. En revanche, pour un client qui a tendance à demander de nombreuses modifications, il sera plus intéressant de lui proposer un taux horaire. 

Bon à savoir : n’oubliez pas que le taux horaire n’inclut pas le travail “non-facturé” à faire autour d’une mission : préparation de devis, facturation, échanges de mails hors travail, etc.

Définir son taux journalier

Lorsqu’on débute et qu’on s’inscrit sur des plateformes de mise en relation entre entreprises et freelancers, c’est parfois le taux journalier qui est demandé. C’est le cas sur Malt par exemple.

Le taux journalier peut être plus délicat à fixer selon les clients : en effet vous devez être prêts à répondre à plusieurs questions : combien d’heures de travail comprend une journée, s’agit-il de travail effectif ou pas…

Je vous conseille donc plutôt de fonctionner au forfait.

Définir un forfait

Lorsque vous pensez travailler trop rapidement pour que le taux horaire soit intéressant pour vous, vous pouvez négocier au forfait.

Dans ce cas, c’est à vous de bien réfléchir en amont à la totalité du travail à fournir, et à estimer le temps passé. N’oubliez pas de prévoir une marge pour les éventuels imprévus. 

Le risque ? Faire une mauvaise estimation et y passer beaucoup plus de temps que prévu, ce qui fera baisser votre taux horaire… Je conseille absolument d’établir un devis, ou de rédiger un mail avec la liste précise des missions à effectuer. Cela vous protègera en cas de conflit ou de litige. 

Comment savoir si vos tarifs sont justes ?

Au début, il est courant de se sous-estimer, et d’accepter des missions parfois sous-payées. Pour ne pas faire cette erreur, il est primordial de connaître sa valeur et ses forces

Le premier indicateur sera la réaction de vos prospects. Refusent-ils tous vos propositions, ou les négociations sont-elles courantes ? Au contraire, acceptent-ils sans discuter ? Dans ce cas, il peut s’agir d’un bon indicateur que vos tarifs ne sont pas justes.

Il est difficile, voire impossible, de connaître les tarifs de vos concurrents dans le cas de prestations de services (pour la vente de produits, la comparaison est au contraire très simple).

Toutefois, la plateforme Malt peut vous indiquer les forfaits journaliers pratiqués par les professionnels de votre secteur en fonction de leur expérience. 

À ne pas oublier : n’oubliez pas qu’en tant que freelance, vous passez aussi de nombreuses heures non rémunérées à travailler : gestion des factures, prospection, déplacements… Vous n’avez également plus de congés payés. Tout cela doit vous permettre de justifier vos prix. 

Comment augmenter mes tarifs ?

Il est toujours plus simple de bien négocier dès le début d’une collaboration, que de revoir ses prix à la hausse par la suite. En effet, lors d’une hausse de tarif, on ne peut pas doubler du jour au lendemain, ni demander une augmentation tous les mois…

Il peut être possible cependant de négocier de nouveau ses tarifs à la hausse après 1 an ou plusieurs années de collaboration. C’est normal puisque votre business a évolué, tout comme vos compétences et ressources.

Si vous êtes un jour dans la situation d’augmenter vos tarifs, amenez à votre client les raisons de l’augmentation, sans que cela soit négociable cependant. Pour cela, il est toujours aussi important de connaître ses forces et sa valeur.

Vous pouvez mettre en avant vos compétences, le coût de vos ressources (logiciels, employés), votre maîtrise des sujets ensemble, ainsi que la durée de votre collaboration.

Vous pouvez également mentionner l’inflation générale, l’augmentation du coût des logiciels que vous utilisez pour lui, ainsi que de nouvelles formations éventuellement passées avec succès.

En mettant tout cela en avant, et en proposant une augmentation juste, vos clients accepteront la plupart du temps sans aucun problème.

Devenir freelance est un changement de vie qui n’affecte personne de la même façon. Pourtant, certaines règles de base peuvent vous aider à bien réussir votre lancement en freelance, quel que soit votre nouveau métier. Et oui, bien vous lancer en tant que freelance, ce n’est pas simplement annoncer votre nouvelle vie à tout le monde ! Avant, un gros travail de préparation vous attend pour être sûr.e que votre nouvelle activité décolle rapidement.

Zoom sur les 5 étapes qui vous aideront à réussir votre changement de carrière en travailleur.se indépendant.e.

Définir votre niche et étudier votre marché

Définir votre niche

Quand on démarre en freelance, on sait généralement ce dans quoi on veut se lancer. L’idée de devenir freelance part souvent d’une envie de concrétiser un métier, d’obtenir une plus grande liberté, ou bien de travailler à 100% dans un secteur qui nous plaît.

Vous avez généralement conscience de la niche dans laquelle vous aimeriez vous lancer : marketing, graphisme, photographie, pâtisserie, création d’une marque de prêt-à-porter…

Lorsque vous définissez la niche dans laquelle vous vous lancez, il est important d’être spécifique. Vous spécialiser en freelance vous aidera à vous démarquer face à des profils couteaux-suisses, et à asseoir votre valeur ajoutée. Vous vous positionnerez en tant qu’expert et pourrez d’autant plus avoir un discours commercial clair.

Comment définir sa niche ?

  • Cherchez du côté de vos passions : qu’est-ce qui résonne en vous et qu’est-ce qui correspond à vos valeurs ?
  • Demandez-vous quelle est la compétence ou spécialité que vous aimeriez le plus mettre en avant 
  • Demandez-vous avec quel type de client vous aimeriez travailler : PME, start-up, grand groupe…

Définir votre niche vous aidera ainsi à savoir quelle offre vous aimeriez vendre.

Étudier votre concurrence

Même si votre projet est clair dans votre tête, il est primordial de faire vos recherches avant de démarrer. Vous n’êtes pas seul.e.s à être à votre compte dans ce secteur, et vous faites partie d’un écosystème qu’il est important d’étudier.

La première chose à faire est de vérifier si ce que vous souhaitez vendre se vend.

Il se peut que ce soit des choses très basiques comme des services en community management et marketing digital et vous savez dans ce cas qu’il y a toujours de la demande. Mais cela peut aussi être une niche très petite comme de la photographie culinaire, ou de la photographie d’animaux.

Dans ces cas-là, il faut savoir si ce que vous aimeriez proposer se vend ou non. Le meilleur moyen de le savoir est de voir si vous avez de la compétition.

Comment étudier votre compétition ?

  • Suivre / chercher sur Instagram des personnes qui travaillent dans le même secteur
  • Taper sur Google les requêtes sur lesquelles vous voulez être référencé
  • Chercher sur LinkedIn des personnes avec des postes que vous souhaitez viser

N’hésitez pas à concevoir un mapping concurrentiel avec les profils qui vous paraissent pertinents pour étudier leur offre, leurs points forts et leurs points faibles, et mieux définir votre propre proposition.

Créer votre offre

La seconde étape pour travailler à votre compte est de réfléchir à l’offre que vous aimeriez proposer.

  • Souhaiteriez-vous vendre des produits ou des services ?
  • Sous quelle forme aimeriez-vous vendre vos services : en présentiel, en ligne, sous forme d’abonnement, de forfait… ?
  • Quelle est votre proposition de valeur ?
  • A quel prix aimeriez-vous vendre ces services / produits ?

Vous poser toutes ces questions vous aidera petit à petit à construire votre offre de freelance.

Attention : pensez à une offre qui vous plaît, n’essayez pas de copier quelqu’un que vous avez étudié juste pour être sûre de plaire ! Vous allez exercer ce nouveau métier seul.e (au début) et au quotidien : autant choisir une offre dont vous êtes convaincu.e !

Définir une stratégie de vente

La stratégie de vente repose sur 4 piliers :

  • Votre clientèle cible
  • Votre offre
  • Vos canaux de vente
  • Vos canaux de communication

Maintenant que vous avez défini votre niche et votre offre, il se peut que vous ayez une petite idée du type de client que vous aimeriez avoir.

Il est certain qu’en vous lançant, une petite voix dans votre tête vous dit : « essaie de viser la clientèle la plus large, c’est comme ça que tu seras sûr de vendre ! » Cette petite voix ne pourrait pas mieux se tromper.

Que vous vendiez un produit ou des services, vous ne pourrez jamais plaire à toute le monde. Votre offre aura toujours plus d’impact sur une cible clientèle précise, et mieux elle est bien définie, plus vous aurez des chances de vendre.

Finalement, trouver ses premiers clients en tant que freelance, c’est un peu comme la pêche ! Vous n’allez pas lancer un filet de pêche au hasard au milieu de la mer ! Vous devez savoir ce que vous allez pêcher, et où lancer votre filet.

Afin de définir votre client cible, le mieux est de créer un persona client. Construire un persona client consiste à établir la fiche d’identité imaginaire de votre client idéal :

  • Nom
  • Genre
  • Âge
  • Éducation
  • Situation familiale
  • Ville
  • Métier
  • Loisirs
  • Problèmes
  • Solutions que vous offrez

Plus vous serez précis, plus vous saurez à qui vous adresser et quels canaux employer pour vendre vos services ou produits à votre client cible.

Définir une stratégie de communication

Non, ouvrir un site web et pleins de réseaux sociaux n’est pas adopter une stratégie de communication !

Oui, ces outils du web sont toujours utiles quand on démarre une activité et qu’on veut la promouvoir, mais il est important avant de savoir quelles plateformes sont le plus utiles pour vous.

Quand vous vous lancez en freelance, vous êtes généralement à votre compte. Votre temps est limité, et pour communiquer efficacement, il vous faudra faire des choix.

Voici mes conseils :

  • Choisissez une ou deux plateformes de réseaux sociaux pertinentes avec votre cible et votre offre, et investissez-les à fond
  • Site web ou pas ? Tout dépend de votre prospection et stratégie de vente ! Oui, il est possible de réussir sans site web au début.

Globalement, votre stratégie de communication doit contenir :

  • Les plateformes où vous communiquerez pour promouvoir votre activité
  • Votre ligne éditoriale
  • Votre fréquence de publications
  • Des stratégies pour convertir vos abonnés en clients

Comment bien vous lancer

Courage, vous êtes bientôt prêts pour officialiser votre nouvelle activité ! S’il n’y avait qu’un conseil que je garderais pour « bien » vous lancer serait le suivant : annoncez votre nouvelle vie de freelance en fanfare !

Famille, amis, collègues : ne soyez pas avares sur le démarrage de votre nouvelle activité, et activez le bouche-à-oreille pour commencer à vous faire connaître.

Si vous êtes consistant avec votre stratégie de communication et votre stratégie de vente, alors vous verrez petit à petit les fruits de vos efforts.

Vous aimeriez bénéficier d’un coup de pouce pour vous assurer que votre lancement soit un succès ? Je peux vous accompagner à établir toutes les bases de votre nouvelle vie de freelance. N’hésitez pas à jeter un œil à mes services, ou à me contacter sur Instagram, je vous répondrais avec plaisir !

Ça y est, vous êtes prêts à vous lancer en tant que freelance, mais vous ne savez pas quel statut légal choisir ? 

Il est vrai qu’en termes de fiscalité et de déclarations, de nombreuses possibilités s’offrent aux freelance en France. Et oui, car vous n’avez pas seulement le choix du statut de micro-entrepreneur, le plus répandu parmi les indépendants qui travaillent sur le web.

À travers cet article, je vous guide dans le choix de votre statut en freelance. C’est parti !

Les différents statuts pour un freelance

En fonction de votre activité, plusieurs cas de figure sont possibles. Voici un tour d’horizon des statuts les plus couramment utilisés par les freelances en France.

Le statut de micro-entrepreneur

C’est le statut le plus souvent choisi par les freelances. Vous le connaissez peut-être sous son ancienne dénomination : l’auto-entreprise.

Les avantages

Si le statut de micro-entrepreneur est si souvent choisi, c’est surtout pour sa facilité de création puis de déclarations. En effet, il n’y a pas d’obligation comptable sous un certain seuil.

Vous pourrez choisir de déclarer vos revenus chaque mois ou chaque trimestre à l’URSSAF, et payer en même temps vos cotisations sociales (qui sont calculées sur la base du chiffre d’affaires). L’impôt sera à payer en fonction des revenus également.

Les inconvénients

Il y a une limitation au niveau du chiffre d’affaires annuel : 

  • 170k€ pour les régimes micro-BIC ( activités artisanales, industrielles et commerciales)
  • 70k€ pour les régimes micro-BNC (activités libérales)

Ce statut ne permet pas de cotiser au chômage ni de déduire les éventuelles charges liées à l’activité.

La SASU/SAS

La SAS (Société par Actions Simplifiée) et la SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) sont caractérisées par une personne morale. 

Les avantages

Le principal intérêt de cette structure est qu’elle protège votre patrimoine personnel. 

Avec cette société, il n’y a pas de plafond de chiffre d’affaires et surtout il y a la possibilité d’avoir des associés. Il y a également une absence de cotisations sociales sur les dividendes, et il faut créer un bulletin de salaire pour se rémunérer. 

Les inconvénients

Il y a un budget à prévoir pour la création d’entreprise. 

L’EURL / SARL

L’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) et la SARL (Société à Responsabilité Limitée) sont des personnes morales. 

Les avantages

La première permet de créer une entreprise sans avoir d’associé. La deuxième permet d’en avoir de 1 à 100. Ces deux statuts permettent de protéger le patrimoine personnel en cas de faillite.

Le chiffre d’affaires maximal est : 

  • 176 200€ en cas d’activité de vente, de fourniture de denrées ou logements
  • 72 500€ en cas de prestations de services

Le gérant n’a pas besoin de se fournir de bulletins de salaire en cas de rémunération.

Les inconvénients

Il faut prévoir un budget pour la création d’entreprise. 

L’EI / EIRL

L’EI (entreprise individuelle) et l’EIRL (entreprise individuelle à responsabilité limitée) sont des personnes physiques, donc l’imposition est appliquée sur l’impôt sur le revenu.

Les avantages

La deuxième option permet de limiter la responsabilité au patrimoine affecté à l’activité professionnelle. 

Les formalités de création sont peu coûteuses et simples et le chiffre d’affaires maximal est compris entre 34 400€ et 247 000€.

Les inconvénients

L’EI ne permet pas de faire rentrer des associés. 

Le portage salarial

Concrètement, la société de portage salarial va être un intermédiaire entre le travailleur indépendant et son client.

Les avantages

C’est un bon moyen de rester indépendant tout en recevant une fiche de paie. C’est une manière sécurisante d’être indépendant. 

Ainsi, l’indépendant peut avoir un vrai contrat de travail, et avoir la possibilité d’acheter un logement ou de contracter des emprunts bancaires. 

Les inconvénients

La société de portage salarial prend une commission de 5% à 10% sur le chiffre d’affaires. 

Comment choisir son statut juridique en tant que freelance

Le statut est à choisir en fonction de votre activité et de votre situation personnelle, mais aussi en fonction de vos souhaits concernant la gestion de votre entreprise et de sa fiscalité. 

Par exemple, lerégime de la micro-entreprise est idéal pour les freelances sur internet. En effet, ces derniers n’ont pas ou peu de frais de bureau ou de matériel. 

En revanche, pour les activités qui impliquent des frais professionnels, les statuts SAS ou SASU seront plus intéressants. 

Voici quelques exemples de frais professionnels auxquels vous pourriez faire face selon votre métier :

  • La location d’un local et l’achat de matériel pour une masseuse ou une naturopathe
  • Le matériel coûteux (appareil photo, objectifs, logiciels d’édition) d’un photographe
  • L’achat de fournitures pour une praticienne en art-thérapie ou une créatrice de bijoux
  • L’achat du stock pour une activité d’achat / revente

Enfin, pour faire grandir sa marque ou embaucher rapidement, une SARL sera plus intéressante qu’une EURL et une SAS sera plus intéressante qu’une micro-entreprise.

C’est pourquoi établir ses objectifs en tant que freelance permet d’aider à choisir la bonne forme juridique pour son entreprise. 

Si vous hésitez sur le statut le plus bénéfique pour vous, n’hésitez pas à vous faire accompagner. 

Les aides pour lancer son activité de freelance

Des dispositifs d’aide existent pour accompagner les freelances lors de la création de leur activité, ainsi que les premières années. 

En effet, la spécificité des entrepreneurs est que, contrairement aux personnes salariées, ils supportent seuls les risques liés à leur activité. 

C’est pourquoi le gouvernement a créé des aides spécifiques pour faciliter le démarrage de ces activités parfois risquées financièrement au début : 

  • L’ACRE – Aide à la Création ou à la Reprise d’une Entreprise. C’est une des aides les plus connues. Elle permet d’exonérer totalement ou partiellement l’entrepreneur de ses charges au début de son activité.
  • L’ARCE – Aide à la Reprise ou à la Création d’une Entreprise. À ne pas confondre avec l’ACRE ci-dessus. Cette aide est destinée aux personnes en demande d’emploi (inscrites au chômage) qui veulent se lancer dans l’entreprenariat. Elle permet de recevoir 45% de ses droits pendant le lancement de l’activité.
  • Le maintien des allocations chômage : ce maintien a lieu si l’ARCE n’est pas choisie. Dans ce cas, Pôle emploi va verser la différence éventuelle entre le chiffre d’affaires perçu et le montant mensuel des allocations.
  • Le prêt d’honneur solidaire : il s’agit d’un prêt à taux zéro pour les porteurs de projets, sous certaines conditions.
  • NACRE – Nouvel Accompagnement pour la Création et la Reprise d’Entreprise. Permet un accompagnement du montage au développement de l’entreprise en passant par la structuration financière. 

Vous pouvez retrouver ces informations sur BPI France

Besoin d’un accompagnement humain et bienveillant ? Contactez-moi !

Vous vous sentez prêt à sauter dans le grand bain du freelancing ? Bravo ! Je ne peux que vous y encourager. Si vous vous lancez, c’est sûrement pour une raison ou une autre : s’épanouir au travail, monter son projet de rêve, voyager en travaillant… quels que soient vos objectifs, il est important de bien les choisir, et surtout, de bien les structurer.

Lorsqu’on ouvre un commerce, un business ou une entreprise, bien choisir ses objectifs freelance permet de définir une stratégie adéquate et de prendre les meilleures décisions pour avoir une activité pérenne sur le long terme.

Sans plus tarder, voici mes conseils.

Pourquoi faut-il se fixer des objectifs en freelance ?

Quand on se lance dans l’entreprenariat, qu’il s’agisse de création d’une société ou de prestations de services, il faut réfléchir en amont à une stratégie à adopter.

En effet, la liberté qu’apporte le freelancing possède également un revers : si la stratégie est mauvaise, les revenus ne rentrent pas. C’est cette prise de risque qui diffère énormément du salariat, et qui impose de se fixer des objectifs pour travailler sereinement. 

Au début, il est plus facile d’avoir une vision à court-terme. Et pourtant, c’est le plus tôt possible qu’il faut penser à long-terme ! Pour cela, l’idéal est de choisir des objectifs atteignables par palier, qui vous apporteront à chaque fois la motivation nécessaire pour aller à l’étape suivante.

Comment bien choisir ses objectifs freelance ?

À ce sujet, nous sommes tous différents. C’est pourquoi l’objectif d’un de vos amis freelance ne sera pas le même que le vôtre ! 

Connaître son “pourquoi”

Nous ne parlons plus ici de “pourquoi se fixer des objectifs en tant que freelance”, mais de “pourquoi vous êtes-vous lancé en tant que freelance” ?

En effet, chacun peut avoir des motivations très différentes en fonction de son parcours de vie et de ses priorités. 

Celles-ci peuvent-être, par exemple : 

  • Gagner beaucoup d’argent
  • Avoir du temps pour mes passions
  • Organiser mon travail et mes horaires comme je l’entends
  • Ne plus avoir de supérieur hiérarchique
  • Choisir mes missions
  • Lancer le projet de mes rêves
  • Devenir Digital Nomad, etc…

Au fil de votre parcours il est donc primordial de garder vos motivations en vue. Bien sûr, celles-ci peuvent évoluer. 

C’est donc en fonction de ces motivations que vos objectifs vont apparaître. Ils peuvent être financiers, liés au secteur d’activité ou à vos domaines d’expertise, et à votre souhait d’équilibre en vie professionnelle et vie personnelle

Quels sont les différents types d’objectifs ? 

En fonction de votre parcours et de vos souhaits de vie, je vous propose dans ma formation trois catégories d’objectifs : 

  • Les objectifs professionnels : être maître de son job, lancer son projet de rêve, monter sa marque, travailler à l’international…
  • Les objectifs personnels : avoir un emploi du temps plus flexible, voyager autour du monde…
  • Les objectifs financiers : avoir un revenu minimum de tant par mois, ne pas accepter de missions en dessous d’un certain taux horaire, etc…

Il vous faut donc placer le curseur au bon endroit sur chacun de ces objectifs pour fixer les vôtres. 

Comment fixer les bons objectifs ?

Pensez à quel objectif (ou deux maximum) est votre objectif de vie. N’ayez pas peur d’avoir des rêves grands et puissants.

Puis, sous-découpez cet objectif en petits paliers à atteindre, et réfléchissez aux moyens à mettre en œuvre pour cela. Les moyens peuvent être des outils, des canaux marketing, des partenaires, des méthodes de travail… 

Grâce à cette méthode, il vous semblera moins difficile d’atteindre votre objectif final, car vous saurez exactement quelle action déployer pour chaque palier, avec quel moyen adopter. N’hésitez pas à être précis dans vos prévisions, en utilisant notamment un rétroplanning pour y noter des dates précises de lancement. Cela vous forcera à tenir les délais et à travailler pour la réalisation de vos rêves.

Réussir demande beaucoup d’organisation et de travail sur soi, c’est pourquoi se faire accompagner au lancement de son activité peut être un véritable game-changer. 

Voici donc un aperçu des étapes possibles pour définir les bons objectifs.

Définir une temporalité pour chaque objectif

Grâce à la méthode précédente de grands objectifs de vie et de sous-objectifs, vous aurez déjà classer vos objectifs par “taille” : grands objectifs, petits objectifs, moyens objectifs.C’est avec cette structure “d’arbre” que vous pourrez mieux déterminer vos priorités au moment de vous lancer en freelance. Par exemple, vous pouvez commencer à travailler un grand objectif de vie avec des sous-tâches qui vous semblent urgentes et faciles à réaliser

Ainsi, il faut trouver une temporalité logique pour ses objectifs, par exemple : 

  • Les objectifs à court terme : trouver ses fournisseurs (avant de faire le marketing de son produit)
  • Les objectifs à moyen terme : D’ici quelques semaines à quelques mois, qu’attendez-vous de votre activité ? Ces objectifs vous aideront à atteindre ceux que vous visez à long terme. Par exemple, le développement de la stratégie marketing. 
  • Les objectifs à long terme : ces objectifs demandent du temps pour être accomplis, mais ils correspondent à votre objectif de vie. Ex : gagner 40k€ par an. Cet objectif à long-terme ne sera pas rempli par “magie”, mais grâce à la somme de tous les efforts fournis dans vos sous-objectifs et sous-tâches, qui auront été réparties tout au long de l’année !

Utiliser la méthode S.M.A.R.T.

La méthode SMART consiste à définir des objectifs chiffrés les plus précis possibles, afin de réussir à des idées concrètes pour les atteindre.

SMART sont en réalité les initiales pour :

  • Spécifiques : les objectifs doivent être précis.
  • Mesurables : ils doivent être quantifiables
  • Atteignables : pour ne pas perdre de motivation
  • Réalistes : il ne faut pas se fixer d’objectifs impossibles (par exemple : “je veux gagner 50 000€ par mois le premier mois”)
  • Temporels : il s’agit de se fixer une deadline pour atteindre ses objectifs

Comme vous pouvez le constater, cette méthode reprend globalement les grands conseils évoqués ci-dessus, mais n’hésitez pas à essayer de la suivre également pour rendre vos objectifs encore plus précis !

Vos objectifs freelance ne sont pas figés dans le marbre

Il faut garder en tête que tout ce travail que vous faites… est pour vous ! Se fixer des objectifs freelance réalisables est important pour votre business, votre nouvelle vie de freelance et sa réussite… mais si en avançant vous voyez que certains doivent être réévalués, repensés, alors ce n’est pas grave ! L’important est d’être capable d’analyser les raisons de ses réussites et de ses échecs afin de réajuster sa stratégie.

Comment savoir si vous “réussissez vos objectifs” ? Si vous n’arrivez pas à les remplir dans les temps, si cela vous demande plus de fil à retordre que prévu, si cela vous stresse… alors il est peut être important de revoir les moyens que vous lui avez attribué, de découper cet objectif en d’autres sous-tâches, de vous faire aider ou de revoir votre propre deadline.

Mon conseil pour que ça marche ? Etalez vos objectifs de lancement sur 1 an, avec des dates clés pour chaque étape. Faites un point à chaque accomplissement d’une grande étape, pour voir le chemin parcouru, et ce qu’il vous reste à faire. Et surtout : n’oubliez pas que vos objectifs doivent rester atteignables pour vous motiver !

Ça y est, vous vous êtes lancé dans le grand bain du freelancing.  Maintenant, il est temps de réfléchir à votre offre, et à l’importance de se spécialiser rapidement. En effet, c’est lors de la phase de lancement qu’il est conseillé de choisir son positionnement

Ainsi, vous allez vous faire connaître dans votre domaine d’expertise. Se spécialiser va vous aider à trouver vos premiers clients plus rapidement, et à vous démarquer. Cela vous permet également d’obtenir plus facilement des clients et de les fidéliser. Mais pourquoi ? Je vous dis tout dans cet article.

Pourquoi se spécialiser en freelance

Il existe de nombreuses raisons de se spécialiser en freelance. C’est un parti-pris à faire assez vite, même s’il peut sembler rassurant de proposer de nombreux services. 

En effet, vous avez probablement acquis de nombreuses compétences que vous souhaitez mettre au service d’entreprises. Cette diversification, bien qu’elle soit bénéfique afin d’avoir une vision d’ensemble des projets qui vous seront confiés, est souvent guidée par la peur de manquer de missions.

Pourtant, le fait de se lancer en tant que freelance découle souvent du fait que l’on souhaite faire uniquement ce que l’on veut et ce que l’on aime. Plus vous vous spécialisez, plus vous pouvez cibler des missions qui vous correspondent et qui vous épanouiront. 

Proposer une offre générique est pourtant très tentant, mais plus votre offre sera spécifique plus vous paraîtrez professionnel. Faire de vous un couteau-suisse, en proposant de nombreux services différents, peut aussi avoir un aspect négatif : vous perdez le client qui ne sait pas ce que vous faites réellement. Imaginez que vous vendez, en plus de la photographie, du community management et de la création web. La première chose que pensera un potentiel prospect c’est : “comment peut-il/elle tout faire ? Dans quoi cette personne est-elle vraiment experte?” Définir avec précision votre champ d’activité et promouvoir votre spécialité vous permettra de mieux vous démarquer.  

En effet, dans l’imaginaire de vos prospects, plus vous vous spécialisez, plus votre profil passe en mode expert. Il est en effet plus facile d’avoir des connaissances profondes sur un sujet, que de se disperser dans de nombreux domaines.

Votre spécialisation va vous permettre d’avoir un discours commercial plus clair, de mieux mettre en avant vos forces de vente, et de définir plus facilement votre persona client.

Comment définir son domaine d’expertise

La réponse se trouve presque dans la question… Lors de vos missions, et grâce à votre expérience, vous savez au fond de vous quel est le domaine dans lequel vous allez vous spécialiser en tant que freelance.

Si cela n’est pas évident, n’hésitez pas à faire un brainstorming pour vous aider à y voir plus clair. Faites tout simplement une liste de vos compétences, de vos points forts, mais aussi de ce que vous aimez faire. 

Pour choisir son positionnement en tant que freelance, il y a plusieurs possibilités :

  • Se spécialiser dans un métier précis (développeur web, community manager, commercial, webdesigner…)
  • Se spécialiser dans un type d’entreprise (PME, associations, multinationales…)
  • Se spécialiser dans une région géographique

Faire une étude de marché

Il est toujours bon de regarder ce que font vos concurrents, et si le marché que vous visez n’est pas saturé. Bien sûr, dans le monde du freelancing il y a de la place pour tout le monde, mais bien choisir son marché peut avoir une forte incidence sur votre demande client. Si cela se trouve, vous vous rendrez compte qu’il y a un vrai manque à combler dans votre marché, et que vous pouvez le remplir en proposant une offre ultra spécialisée qui correspond pile à vos compétences. Etudier sa concurrence vous permettra aussi de voir les bonnes et mauvaises pratiques de vos concurrents, et petit à petit, vous permettra de construire votre propre profil freelance.

Les avantages de se spécialiser en freelance

Se spécialiser et bien choisir son positionnement en tant que freelance offrent de nombreux avantages. 

  • Se positionner naturellement en tant qu’expert : avoir une spécialité vous incite à vous former continuellement et à augmenter votre domaine d’expertise. Du point de vue client, cela donne une image plus rassurante sur les compétences.
  • Réduire la concurrence : en se positionnant dans un secteur précis, on diminue la concurrence. Vous apparaîtrez plus facilement dans les résultats de recherche que des freelances trop diversifiés.Face à quelqu’un qui dit savoir “tout faire”, vous pourrez également avoir un profil plus convaincant, car vous vous positionnez en tant qu’expert de votre domaine.
  • Augmenter vos revenus : qui dit expertise, dit forfait ou taux horaire plus important. Vous pourrez donc soit gagner plus, soit gagner autant en travaillant moins et en dégageant plus de temps libre pour vos passions annexes. De la même façon, vous aurez moins besoin de vous justifier sur vos tarifs. Votre expertise justifiera votre devis. 
  • Avoir une offre plus claire : se spécialiser amène forcément votre offre à devenir plus simple et plus claire. Et plus elle le sera, plus vous aurez de chances de convaincre vos futurs prospects. Votre communication globale sera ainsi facilitée, et votre personal branding va amener de la confiance. 
  • Pouvoir choisir ses clients : un des plus grands avantages dans la vie de freelance est de pouvoir choisir ses clients. Plus vous aurez de demandes, plus vous pourrez choisir avec qui vous travailler. 
  • S’entourer d’autres experts : en vous spécialisant, vous allez également passer à côté de missions. Pensez à vous entourer d’autres personnes spécialisées, afin de créer un réseau de soutien. Par exemple, vous êtes développeur web, mais n’avez que peu de notions de graphisme ? Créez une offre avec un graphiste : vous pourrez ainsi vous apporter mutuellement des clients, et offrir des packages plus complets à vos clients sans décrédibiliser votre offre. 
  • Un gain de temps : la gestion de projets dans leur globalité demande de l’organisation, du temps, et bien souvent de nombreux échanges. Lorsque vous n’intervenez que sur un sujet précis, vous évitez les réunions inutiles et les échanges entre les différents prestataires. 

À partir de quand se spécialiser en freelance

Le mieux est de se spécialiser à votre lancement, pour éviter un nouveau positionnement de votre personal branding quelques mois ou années après. Vous ne vous êtes pas spécialisé à vos débuts ? Pas de panique. Une entreprise est comme un être vivant : elle évolue avec vos montées en compétences, vos envies et vos ambitions. Vous spécialiser en cours de route peut vous permettre de trouver de meilleurs clients, et d’upscaler vos services de façon justifiée ! 

Le principal est d’être sûr de votre offre, de votre valeur, et de vos compétences. Cependant, plus vous vous spécialisez rapidement, plus vous aurez de chances de vous démarquer.

De même, plus vite vous travaillerez uniquement sur ce que vous aimez, plus vite vous serez épanouis. N’oubliez pas que quand on est freelance, nous sommes nos propres chefs ! Il est donc important d’être motivé par ce que l’on fait au quotidien. Si vous travaillez dans un domaine qui vous plaît, vos compétences n’en augmenteront que plus spontanément et plus rapidement, mettant ainsi en place un véritable cercle vertueux. 

Devenir un expert dans son domaine : le mot de la fin

Quel que soit votre secteur d’activité, il est possible de vous spécialiser. Ainsi, vous aurez une crédibilité accrue et un véritable domaine d’expertise à mettre en avant lors de vos échanges avec vos prospects.

N’oubliez pas qu’il est plus facile de faire confiance à un spécialiste qu’à quelqu’un qui s’éparpille ! Enfin, la spécialisation peut offrir un vrai levier de recommandations et de bouche à oreille. Un client ravi par votre expertise vous recommandera ensuite plus facilement auprès de ses connaissances. 

Et si vous avez besoin de conseils, découvrez mes services de consulting et boostez votre activité grâce à un accompagnement bienveillant et personnalisé !

Vous avez envie de devenir freelance, mais avez peur de ne pas avoir tous les outils en main pour vous lancer sereinement ? Dans ce cas, vous êtes au bon endroit ! 

En effet, devenir indépendant et lancer sa propre entreprise, ça demande du courage, mais également de l’organisation et quelques connaissances.

Pour se lancer dans le grand bain, il est idéal d’être accompagné au lancement. Investir dans une formation, c’est mettre toutes les chances de son côté pour pérenniser son activité le plus rapidement possible.

Edit: la formation Devenir Freelance a définitivement fermé. Il est cependant possible de se faire accompagner en 1to1 lors de consulting personnalisé. Prendre rdv.

Pourquoi suivre une formation avant de se lancer ?

trouver clients freelance

Quand on souhaite se lancer en tant que freelance, le fait d’être autonome peut vite faire peur… Peur de faire une erreur administrative, peur de ne pas trouver de clients, peur de ne pas gérer son emploi du temps…

De même, il est primordial de suivre les bonnes étapes pour démarrer son activité de freelance. Se lancer sans rien oublier va vous permettre d’optimiser votre temps et de pouvoir plus rapidement tirer des revenus.

C’est forte de mon expérience que je vous propose aujourd’hui une formation bi-hebdomadaire et en direct. Au fil des semaines, je vous apprends à vous lancer sereinement et à prendre confiance en vous et en vos capacités.

Ma formation “devenir freelance”

Vous trouverez sur internet pléthore de formations qui vous donnent des conseils et astuces pour devenir freelance.

En étudiant ces diverses formations, je me suis rendue compte qu’une chose manquait souvent : le contact direct. Pour moi, les relations humaines sont au cœur de mon métier : j’aime apprendre et j’aime transmettre.

Même si la conjoncture actuelle et la praticité d’une formation en ligne font des formations en ligne des atouts, j’ai fait le choix de vous proposer une formule qui contient uniquement des cours en direct. 

Les avantages de ma formation “devenir freelance”

Outre ce souhait d’avoir un côté humain et chaleureux grâce aux cours en direct, voici les autres avantages de ma formation.

Un accompagnement personnalisé

Cette formation complète est idéale pour parcourir les débuts du freelancing de A à Z. Pour autant, je propose à chaque personne un bilan individuel d’une heure à la fin du module de formation pour discuter de votre projet, faire le point sur ce qu’il vous reste à faire, et répondre à toutes vos dernières questions si le besoin s’en fait ressentir.

Une formation sur un mois

Ma prochaine formation aura lieu en septembre 2022. Durant ces cinq semaines de cours, je vous donne rendez-vous tous les lundis et jeudis pour des classes interactives d’1h30.

Ce format est idéal pour que vous puissiez prendre des notes et intégrer les notions petit à petit. 

Acheter la formation

Un nombre limité d’élèves

J’ai fait le choix de limiter les places à six élèves seulement par session de formation. Et ce choix est loin d’être anodin ! Pour moi, avoir un petit groupe est primordial pour que tout le monde se sente libre de participer.

Et afin de créer un esprit d’équipe et d’entraide, un groupe whatsapp nous permet d’échanger tous ensemble dans la bienveillance et le partage. 

Le contenu de la formation

Chaque session aura lieu en direct : je ne propose pas de vidéos pré-enregistrées. De cette manière, je peux interagir de manière personnalisée avec vous et répondre aux besoins qui vous sont propres.

Et pour que vous puissiez savoir ce que vous achetez, voici le programme de la formation.

Séance 1 : Définir sa niche et étudier la compétition. Nous verrons lors de cette classe l’importance de bien connaître ses compétences et de se spécialiser. L’étude de marché et l’étude de la concurrence seront également passées en revue.

Séance 2 : Se définir des objectifs et une deadline pour se lancer. À la base de tout projet, il y a les objectifs fixés. L’important est de bien les définir et les garder en tête pour les atteindre. Nous verrons également l’importance de se fixer une deadline pour se lancer.

Séance 3 : Fixer ses prix. C’est le nerf de la guerre. Apprendre à bien fixer ses prix et à savoir les défendre auprès des entreprises est essentiel. 

Séance 4 : Se créer une identité de marque. L’importance du personal branding sera mise en avant dans cette session de formation freelance. En effet, savoir se vendre et bien communiquer sur son image de marque est un atout majeur dans le monde du freelancing.

Séance 5 : Devenir légal. Quel statut juridique choisir ? Quelles taxes allez-vous payer ? Comment déclarer ses revenus ? Comment facturer ? Quelles sont mes obligations administratives. Toutes ces questions seront passées en revue durant ce cours. 

Séance 6 : Réussir sa prospection et créer une stratégie de vente. Pour se faire connaître, il est quasiment indispensable de prospecter et de savoir se vendre. nous vous y aidons dans ce cours. 

Séance 7 : Gérer les premières relations clients. Ce chapitre permet d’apprendre à bien communiquer avec ses clients pour garantir une bonne entente professionnelle. 

Séance 8 : Les outils pour développer son business. Une fois l’activité de freelance lancée, il est primordial de développer son business pour s’assurer des revenus chaque mois. Je vous donne quelques clés dans ce module.

Séance 9 : Apprendre de ses expériences : classe avec invité surprise. Pour ce dernier cours collectif, j’invite un invité mystère, un(e) freelance ou entrepreneur.se qui vous parlera de son expérience concrète et partagera avec vous ses réussites et ses échecs. 

Séance 10 : Entretiens individuels. Je définis avec chaque élève un créneau d’une heure en individuel afin de répondre à vos dernières questions. Cette séance est aussi l’occasion de faire le point sur la formation et de vous donner le mindset nécessaire pour oser vous lancer ! 

Si vous avez des questions au sujet de ma formation “Devenir Freelance”, n’hésitez pas à me contacter. Je serai ravie d’échanger avec vous afin de définir si elle peut correspondre à votre profil et à vos attentes. À bientôt !

Se lancer en freelance et profiter des avantages de ce statut en fait rêver plus d’un. Choix de ses horaires, de son emploi du temps, définition de ses tarifs et absence de patron sont autant de raisons qui donnent envie à de plus en plus de salariés de franchir le cap du freelancing.

Cependant, se lancer demande du courage et surtout beaucoup d’informations. On ne devient généralement pas 100% freelance du jour au lendemain. Une des questions qui reviennent le plus souvent lorsque je donne des conseils freelance est : comment trouver mes premiers clients ?

En fonction de votre domaine d’activité et de votre cible, voici plusieurs astuces pour vous aider à trouver vos premiers clients en tant que freelance.

Définir son client idéal

Un des avantages de la vie de freelance est de pouvoir choisir ses clients, et également les personnes avec qui on travaille. 

Lors de la mise en place de votre stratégie, vous devez réfléchir au persona de votre client idéal. Voici par exemples quelques pistes de réflexion :

  • Taille de l’entreprise : petite, moyenne ou grande
  • Domaine d’activité : dans quoi souhaitez-vous vous spécialiser ?
  • Type d’interlocuteur : entrepreneur, salarié, profession libérale
  • Mindset de votre interlocuteur
  • Niveau d’exigence, compétences similaires aux vôtres
  • Besoins : améliorer leurs réseaux sociaux, mieux gérer leur comptabilité, placer leurs produits dans plus de points de vente…
  • Les frustrations ou points de blocage : quels sont les challenges actuels auxquels sont confrontés vos clients et quelle est la solution que vous leur apportez ?
  • Géographie : visez-vous votre ville, votre pays, ou l’international ? 
  • Langues : dans quelle(s) langue(s) souhaitez-vous travailler ?

Faites ensuite une rapide étude de marché. Avez-vous beaucoup de concurrents ? Est-il plus judicieux de vous positionner sur des entreprises locales ou délocalisées ? Plus votre spécialité est ciblée, plus vous pouvez analyser avec précision les tendances du secteur. Enfin, consultez les sites web et prestations de vos concurrents pour ajuster votre offre. 

Connaître son offre sur le bout des doigts

Pour avoir envie de travailler avec vous, votre futur client a besoin d’être rassuré sur vos compétences et votre professionnalisme. Connaître vos produits, vos services et leurs prix sur le bout des doigts vous permet de gagner en assurance et de présenter votre offre clairement à vos nouveaux clients.

Se créer un portfolio de son activité est idéal pour faire savoir précisément ce que vous vendez. Rendez-le attrayant mais direct et clair. L’idéal est que ce portfolio prenne la forme d’un site web, où vous pourrez montrer de précédentes réalisations et où on peut vous contacter. Cela vous aidera également à construire votre référencement en ligne avec un blog optimisé pour le SEO par exemple. En cas de budget serré, un site vitrine style landing page ou un document pdf bien construit suffit.

Faire fonctionner son réseau

Pour trouver ses premiers clients en tant qu’auto-entrepreneur, n’hésitez pas à solliciter votre réseau. Et plus précisément, n’hésitez pas à faire fonctionner VOS réseaux.

Premièrement, n’hésitez pas à partager l’info autour de vous et dans votre cercle d’amis ou de connaissances virtuelles. Quand on se lance, c’est le moment où jamais de l’annoncer, alors faites-le en grand ! Parents, amis, compte Facebook ou Instagram : annoncez que vous vous lancez en freelance en fanfare, et surtout, précisez dans quoi vous vous lancez ! Qui sait, vos compétences répondent peut-être à un de leur besoin sans que vous le sachiez ! N’hésitez pas à pratiquer l’auto-promotion : n’ayez pas peur de leur demander de partager l’information. Plus elle sera diffusée, plus vous aurez de chance de trouver vos premiers clients.

N’hésitez pas non plus à faire fonctionner votre réseau professionnel. Si vous êtes en bon terme avec les entreprises pour lesquelles vous avez déjà travaillé, peut-être seraient-elles ravies de profiter de nouveau de vos compétences. Contactez-les, et faites passer le mot à vos anciens collègues.

Enfin, utilisez votre compte Linkedin pour diffuser l’information à votre réseau. Les connaissances ajoutées au fil des années sont une véritable mine d’or. 

Demander conseil

De nos jours, le télétravail, le freelancing, et la mode des “digital nomades” prennent de plus en plus d’ampleur. Vous connaissez d’ailleurs probablement quelqu’un de votre entourage qui s’est lancé ?

Demandez-lui conseil ! Rien de mieux que l’expérience de quelqu’un qui a réussi pour se donner du courage et élargir ses idées.

L’importance des réseaux sociaux

En plus d’avoir un portfolio à jour, vous pouvez profiter du levier offert par les réseaux sociaux pour valoriser votre activité. 

Réfléchissez à votre profil et créez-le pour qu’il constitue une vitrine de vos compétences. Tous les réseaux sociaux peuvent avoir une valeur ajoutée : Instagram bien sûr, mais aussi Facebook, Twitter ou Linkedin. L’idée est de choisir une ou deux plateformes que vous allez investir à fond. Optez pour la plateforme où votre cible est présente, et où vous savez que vous serez enthousiaste de créer du contenu. 

Les plateformes de mise en relation

Si vous vous lancez sans avoir constitué un réseau au préalable, vous pouvez facilement trouver vos premiers clients via des plateformes de freelancers. Malt, Upwork, Behance ou Fiverr sont des exemples de plateformes à investir quand vous démarrez. (Personnellement, celle qui a le mieux fonctionné pour moi est Upwork !)

En effet, il est très facile de nos jours de trouver des clients sur internet. Mais attention, la concurrence est rude ! Ces plateformes permettent en effet à des travailleurs du monde entier de proposer leurs services. Les habitants de pays dans lesquels le coût de la vie est moins cher pourront donc proposer des tarifs beaucoup moins élevés.

Alors, comment vous démarquer ? En prouvant vos compétences et en valorisant votre travail. N’ayez pas peur de montrer pourquoi vous êtes la bonne personne pour cette mission ! Le personal branding est primordial quand on cherche des clients sur internet. 

Démarcher directement

En réfléchissant au persona de votre client idéal, il est possible que vous ayez eu en tête des noms d’entreprise. Si tel est le cas, contactez-les directement ! Utilisez Google ou bien Linkedin pour trouver les adresses des interlocuteurs à privilégier.

Préparez un message clair, concis, dites pourquoi vous aimeriez travailler avec eux et en quoi vous leur serez utile. Mon conseil personnel ? Joignez un portfolio personnalisé de votre travail : un exemple d’article pour leur blog, un exemple de fiche produit, un exemple de logo… Montrez que vous voulez vraiment travailler avec eux, et que vous les contactez car vous appréciez leur marque.

N’hésitez pas à travailler l’objet de votre mail ainsi que son contenu : mots en gras, lien direct vers votre site… Mettez toutes les chances de votre côté pour capter l’attention.

Trouver ses premiers clients en freelance : pour finir

Vous l’aurez compris, il n’y a pas UNE solution miracle pour trouver ses premiers clients quand on se lance dans l’aventure du freelancing ! 

Vous avez envie d’un coup de pouce pour démarrer cette nouvelle activité et être sûrs de créer une stratégie de communication cohérente ? Contactez-moi pour du consulting personnalisé !

Vous venez de démarrer une boutique en ligne ou aimeriez générer plus de ventes sur votre e-commerce. Je vous propose 10 conseils marketing gratuits pour augmenter votre trafic et optimiser vos conversions.

1. Améliorez le référencement de votre site web

Pour vendre en ligne, il faut être visible. Et cela ne se fait pas magiquement dès que vous publiez votre boutique en ligne. Il faut travailler à fond le SEO, search engine optimization, pour vous assurer les meilleurs classements dans les résultats de recherche.

Cela passe par (entre autres) :

  • Avoir des méta-donnés optimisées sur chaque page
  • Avoir des pages avec une architecture ordonnée (H1, H2, H3)
  • Connaître vos mots-clés importants et les incorporer dans votre contenu
  • Avoir un maillage interne cohérent
  • Avoir un site web qui se charge rapidement
  • Avoir un site web moderne et qui donne envie de naviguer dessus

Cela peut paraître évident comme conseil marketing, mais le SEO est un travail de fond et qui ne s’arrête à vrai dire jamais ! C’est ce qui vous aidera sur le long-terme à augmenter vos positions dans les résultats de recherche, et à être n°1 sur le mot-clé de votre secteur !

2. Soignez le graphisme de votre site web

Un site internet qui n’est pas à mis à jour régulièrement et qui n’a pas une apparence moderne et esthétique fera fuir les visiteurs. Vous pouvez voir cela facilement dans le taux de rebond de vos statistiques Google Analytics.

Créez une boutique en ligne ou un e-commerce qui a un graphisme soigné, qui donne envie de naviguer sur votre site web, et surtout d’acheter. Créez un univers visuel qui représente vos valeurs et soit représentatif de votre secteur !

3. Investissez les réseaux sociaux (quotidiennement)

marketing-reseaux-sociaux

Les réseaux sociaux sont indispensables pour vous faire connaître en ligne et vendre.

Facebook, Instagram, Pinterest, Twitter : choisissez le ou les réseaux à investir pour communiquer sur vos actualités de marques et vos nouveaux produits.

Comme sur votre site web, soignez le visuel de chaque publication, et écrivez des légendes ludiques et intéressantes. Engagez la conversation avec vos abonnés, et donnez envie à vos clients et prospects de vous suivre !

Vous n’avez pas le temps de faire du community management ? Bonne nouvelle, je le fais pour vous !

>> Découvrir le service stratégie réseaux sociaux

4. Pensez aux publicités Facebook

Vous avez besoin de vendre, et rapidement ? Un conseil marketing utile : la publicité en ligne est ce qu’il vous faut ! Vous devrez certes mettre un budget important pour espérer obtenir des résultats satisfaisants, mais c’est LA solution pour multiplier votre chiffre d’affaires !

Facebook offre un service de publicité en ligne particulièrement performant. Vous pouvez créer des publicités qui convertissent ou génèrent des prospects grâce à de larges audiences et la possibilité de bien segmenter votre clientèle cible. Âge, locatif géographique, langues, centres d’intérêts, comportements d’achats : les paramètres de ciblage de votre audience sont très précis sur Facebook Ads, et vous permettent de créer des publicités qui marchent.

Bien sûr, comme chaque conseil marketing, la publicité sur Facebook demande du test and learn, et donc pas mal d’essais et de réglages pour trouver le style de publicité qui vous convient. 

5. Faites des partenariats influenceurs

Réaliser des partenariats influenceurs pour booster votre e-commerce serait mon conseil marketing le plus important !

C’est là où vous avez le plus d’opportunités pour booster notre notoriété en ligne et vos ventes d’un coup. Un(e) influenceur(se) a un tel pouvoir de persuasion sur sa communauté – une influence – qu’il ou elle peut contribuer à vous faire gagner des centaines de nouveaux clients ou d’abonnés d’un coup.

Pour réussir votre collaboration influenceur, il faut bien sûr prendre en compte de nombreux critères :

  • Choix de l’influenceur
  • Message promu
  • Temps de la collaboration (jour et horaire choisis)
  • Type de contenu créé (stories, post, vidéo IGTV ou Reels…)
  • Produit envoyé

Envie de tout savoir pour réussir vos collaborations influenceurs sur Instagram ?

>> Découvrez mes services de consulting en influence

6. N’oubliez pas l’emailing

L’emailing est le fait d’envoyer des emails à vos clients et prospects pour les fidéliser et communiquer de façon régulière sur vos actualités.

L’emailing est un levier marketing puissant pour fidéliser une audience et générer plus de ventes.

Vous pouvez distinguer deux façons de faire de l’emailing pour votre boutique en ligne :

  • Newsletters : emails envoyés de façon hebdomadaire ou mensuelle pour communiquer sur vos nouveautés d’entreprises, promotions, etc.
  • CRM : suite d’emails appelés ‘funnel’ qui a pour but de targeter une audience ciblée pour augmenter les ventes d’un produit ou service en particulier.

L’avantage de l’emailing, c’est que vous pouvez communiquer plus en profondeur que sur les réseaux sociaux, limités par un certain nombre de caractères. Vous pouvez ainsi aborder des thèmes qui vous tiennent à cœur, présenter de façon plus détaillée votre nouvelle collection… et mettre des liens directs votre boutique en ligne.

7. Affichez vos avis clients positifs

Rien de plus puissant qu’un client satisfait pour vous apporter de nouveaux clients. Affichez avec fierté les témoignages clients positifs sur votre homepage pour rassurer les nouveaux visiteurs et leur donner envie d’acheter.

Utilisez ces témoignages clients sur vos réseaux sociaux pour promouvoir une image de marque professionnelle et crédible !

8. Créez du nouveau contenu régulièrement

En ligne, la régularité est clé pour continuer d’exister. Que ce soit pour votre site web ou vos réseaux sociaux, vous devez être présent quotidiennement avec du nouveau contenu. Cela vous permettra de garder un lien permanent avec votre clientèle, de dépasser vos concurrents, et d’améliorer votre référencement.

Voici comment bien créer du contenu régulièrement sur toutes vos plateformes :

  • Publier 2 articles de blog par mois
  • Être présent quotidiennement en stories Instagram
  • Publier 3 fois par semaine sur vos réseaux
  • Répondre quotidiennement aux commentaires et messages privés

9. Ayez vos statistiques de performance à l’œil

Comment optimiser votre site si vous ne connaissez pas le comportement des visiteurs sur celui-ci ? Branchez Google Analytics et Google Search Console à votre site web dès que vous le publiez.

Google Analytics vous donnera toutes les performances de votre trafic et de vos conversions : comment vos visiteurs ont atterri sur votre site web, est-ce que votre trafic et principalement organique ou payant, quelles sont les pages préférées, combien de temps restent-ils, quels sont les bestsellers…

Google Search Console est pensé pour vous aider à améliorer votre référencement en ligne. Cet outil gratuit de Google vous donne tous les indicateurs SEO de votre boutique en ligne : mots-clés positionnés, taux de clics, impressions de vos pages… Cela est idéal pour travailler des requêtes clés qui sont mal positionnées, ou améliorer vos classements dans les résultats de recherche de façon organique.

10. N’hésitez pas à déléguer

Avec ces 10 conseils en marketing, vous devriez pouvoir booster votre e-commerce comme jamais. Mais vous avez aussi du pain sur la planche ! Quand on est commerçant ou que l’on a un business à faire tourner, difficile de trouver le temps de bosser son marketing comme on le souhaite.

Heureusement, je suis là pour vous aider : marketing d’influence, SEO, réseaux sociaux… je vous aide sur tous ces leviers !

Pour me déléguer le marketing de votre site web professionnel, n’hésitez pas à me contacter !