Lors de mon séjour à Chicago, j’ai eu la chance d’assister à un événement de networking féminin, dédié à toutes les “Boss Babes” de Chicago et ses alentours. J’y ai fait la connaissance de Holly Sias, organisatrice de l’événement et fondatrice de l’agence Socialite Media, mais surtout de Supriya, avec qui j’ai passé une bonne partie de la soirée.

Supriya Venkatesan s’est présentée à moi comme une coach en leadership. Elle aide les entrepreneurs et les entreprises à grandir et faire plus de chiffres d’affaires. Pour cela, elle ne travaille pas les compétences, mais une chose souvent mise de côté : le mindset. 

Après avoir appris à mieux la connaître autour d’un café, j’ai voulu lui donner la parole ici car je souhaitais absolument que son histoire soit partagée. Découvrez la vision d’une jeune femme au parcours multi-culturel pleine d’ambition, et de réussite.

Bouleverser le subconscient pour faire grandir son business

Supriya est “coach spécialisée dans le leadership transformationnel”. Avec Samskara, son entreprise, elle travaille avec le subconscient pour aider les entrepreneurs ou professionnels à haute responsabilité à avancer dans leur business de façon radicale. 

En coaching, on travaille normalement sur le niveau conscient, comme acquérir de meilleures compétences en communication, apprendre à fixer des objectifs…” explique-t-elle. “Mais je pense que travailler dès le niveau du subconscient aide à opérer des changements plus radicaux, puisqu’on touche à ses valeurs, aux croyances limitantes qui nous accompagnent depuis des années.”

Supriya intervient au moment de croissance d’une entreprise. C’est un moment qui est souvent attendu par les boîtes ou les solopreneurs, mais qui une fois atteint, est souvent difficile à franchir. “On parle souvent de ce fameux “plafond” avec mes clients. On arrive à grandir jusqu’à un certain point, et on se retrouve bloqué à cause de nos croyances, de nos émotions, de notre environnement. Cela se transforme ensuite en peur, procrastination, et on se trouve des excuses pour ne pas aller plus loin.

La clientèle de Supriya a cependant un profil particulier. Ce sont des “high achievers”, ou personnes déterminées à viser la performance et faire ce qu’il faut. Chef de restaurant, directeur d’agence… Peu importe la niche, tous les coachés de Supriya ont la niaque d’aller plus loin dans leur business. 

Ex-militaire, stratégiste Apple, et entrepreneuse à succès

Le succès de l’approche de Supriya vient de son parcours hors-norme. Née dans les îles Fidji, elle a vécu la plus grande partie de son enfance entre les US et son île natale. Elle développe rapidement une personnalité multi-culturelle et multi-lingue, entre la culture fidjienne, indienne, d’où vient une partie de sa famille, et américaine. 

Au lycée, elle décroche les cours et rejoint l’armée américaine. Elle servira 6 ans, déployée entre l’Iraq et l’Asie du Sud-Est. C’est lors de cette expérience qu’elle commencera sa prise de conscience vers l’importance du mindset et du leadership.

Suite à un breakdown, elle sort de l’armée et rejoint l’université de Columbia, où elle suivra un master de Sciences de la communication, et se plongera dans les tréfonds du subconscient et de l’esprit humain. Pendant ses études, elle tombe enceinte et cet événement inattendu bouleverse sa vie. “On dit souvent quela nécessité est mère de l’invention” et je pense que c’est tout à fait ce qu’a déclenché la maternité pour moi.”, explique Supriya. “Même si j’étais mariée, ce n’était pas une grossesse inattendue et je pense que c’est ça qui m’a naturellement poussée vers l’entrepreneuriat.” 

En parallèle de ses études, elle commence donc à rédiger en freelance pour des agences et médias, et collabore petit à petit avec les plus grands noms : NY Time, Forbes, Vogue, Teen Vogue… Puis elle se dirige vers le marketing de contenu, où là aussi elle réussit à collaborer avec agences gouvernementales et médias de renom.

Quand ma fille était plus grande, j’ai rejoint le milieu corporate en agence et j’y suis restée 4 ans. Je suis directement arrivée en tant que directrice à cause des expériences que j’avais accumulé, et j’ai travaillé pour des comptes très importants comme l’Armée, Dropbox, Blue Cross Blue Shield, Toyota, Nissan et Apple”.

C’est grâce à son travail remarqué pour Apple que la boîte l’embauchera en Californie pour rejoindre leurs locaux. Elle y restera un an, puis rejoindra une autre agence marketing où elle réussit à faire grandir son département de 60 personnes à 110 personnes en 9 mois.C’est là que j’ai pris conscience de l’importance de la croissance d’une entreprise, et de tous les processus à mettre en place pour faire en sorte qu’elle se passe dans les bonnes conditions”.

Se reprogrammer pour réussir

Le programme de Supriya se base sur toutes ses expériences de vie, perso et pro, mais aussi sur ses études en sciences et communication. 

Avec son accompagnement, elle aide les entrepreneurs et salariés à haute responsabilité à reprendre le contrôle de leur leadership, et changer leur état d’esprit pour libérer leurs capacités de performance. 

Son programme clé de 3 mois, The Monarch Experience, repose sur 3 phases simples:

  1. Release
  2. Relearn
  3. Reprogram

L’idée est de se défaire de toutes ses croyances limitantes et émotions qui nous empêcheraient d’atteindre la performance, pour nous modeler une autre identité tournée vers la réussite.” Pour aider ses clients, Supriya a développé de nombreux outils neurolinguistiques et visuels, qui aident à travailler sur ses croyances limitantes. On apprend à transformer des problèmes en opportunités, à mieux comprendre la perception des autres sur une situation donnée, et à travailler sur ses blocages, physiques comme émotionnels.

Avec Supriya, on travaille sur sa connexion “corps et esprit” pour se libérer de ses freins et blocages, et construire la vie que l’on mérité.

Rien n’est impossible à celui qui croit

Je suis heureuse de vous partager cette interview, car j’ai sincèremment été bluffée par Supriya en la rencontrant. C’est une personne très spéciale, entourée d’une aura de détermination et d’ambition contagieuse. Sa vie n’a pas du tout été une ligne droite, mais elle a su faire de chaque épreuve une opportunité pour grandir encore plus haut et plus loin.

Aujourd’hui, en plus de développer son programme de coaching en leadership pour les entreprises, elle m’a confié travailler sur un livre à venir, son premier en version papier. 

Ce que l’on peut retenir de son expérience et de sa vision de l’entrepreneuriat si on entreprend soi-même, c’est que la réussite n’est pas liée qu’aux efforts que l’on met, mais aussi à la mentalité qu’on adopte. On ne peut réussir si on n’adopte pas la bonne attitude et le bon “mindset”, et c’est quelque chose qui se travaille tous les jours et sur le long-terme.

Pour ça, Supriya m’a recommandé le livre “Think and Grow Rich” de Napoleon Hill, un classique de la littérature entrepreneuriale, où le journaliste a passé plus de 20 ans à interviewer les personnes les plus riches d’Amérique pour leur demander les clés de leur succès. 

Si vous voulez suivre Supriya sur ses réseaux sociaux, voici le lien de son compte Instagram

Être freelance signifie bien souvent avoir plusieurs clients aux profils très différents. Conserver une bonne entente avec chacun d’entre eux est primordial pour pérenniser son activité. 

Comme dans toutes les relations humaines, il sera très facile de travailler avec certains clients, et plus difficile avec d’autres. C’est pourquoi il est essentiel d’apprendre à définir des limites saines avec ses clients. 

Découvrez mes recommandations pour travailler dans la bonne entente avec l’ensemble de vos clients. 

Pourquoi définir des limites avec ses clients ?

Pour que votre activité en tant que freelance perdure dans le temps, la gestion clientèle est un point essentiel à travailler.

En effet, il peut être très rapide de se voir attribuer une bonne ou une mauvaise réputation. Fidéliser ses clients permet en plus de s’assurer un revenu régulier.

Choisir ses clients

Lorsque vous prospectez ou lorsque vous avez des demandes, il devient vite essentiel de sélectionner les personnes avec qui vous allez travailler.

Faites tout d’abord confiance à votre instinct : avec l’expérience, vous apprendrez à ressentir à travers les échanges (qu’ils soient écrits ou oraux) le caractère d’un prospect. Privilégiez donc les personnalités avec qui vous avez plaisir à travailler : la qualité de votre travail s’en fera ressentir.

Toutefois, même quand le feeling semble au rendez-vous, il est important de se protéger en fixant rapidement des limites saines avec son client, où dès qu’une situation “borderline” se présente.

Comment bien définir ses limites avec un client ?

Voici mes conseils pour bien commencer à travailler avec un nouveau client.

Mettre en place un devis clair

L’étape du devis, qui semble parfois subsidiaire lors d’un accord écrit, est pourtant très importante.

Ce document, voué à être signé par votre client, prouve l’accord initial qui a été convenu entre vous. Il constitue en quelque sorte la base de votre future relation.

Voici les détails à ne pas oublier dans vos devis : 

  • La durée de validité de l’offre (et à fortiori du tarif),
  • Le contenu détaillé de chaque prestations : ne pas hésiter à ajouter des détails, ainsi qu’une partie “ce que cette offre ne comprend pas”,
  • Le déroulement de la mission : durée, temps, les étapes éventuelles,
  • Le tarif : il doit être indiqué en HT ou en TTC. N’oubliez pas d’ajouter les modalités de paiement, ainsi que la date de paiement. Souvent pour les freelances il s’agit d’un paiement à chaque fin de mois ou d’un paiement en une fois selon la mission.

Mon conseil pour une première mission avec un client : pour valider le sérieux de votre client, demandez un acompte pour le premier mois. 

Grâce à ce devis détaillé, vous pourrez éviter les situations courantes où un client vous demande plus de travail que ce qu’il vous paie. Vous pourrez prouver que la mission demandée n’est pas prévue dans le devis, mais vous pourrez bien sûr en éditer un nouveau avec votre tarif pour cette mission supplémentaire.

Lire « 5 étapes pour bien vous lancer en tant que freelance »

Éviter les situations de débordement

Il est tout à fait humain de s’investir davantage pour certains clients, mais attention ! Si vous travaillez plus sans demander de paiement, vous ouvrez la porte à des dérives.

Par exemple, si un jour vous n’avez plus la possibilité d’accorder du temps gratuitement, votre client aura l’impression que vous travaillez moins ! 

Trop s’impliquer signifie également accepter plus de responsabilités : mesurez vos paroles et vos recommandations pour ne pas paraître responsable en cas de problème.

Précisez vos moyens et horaires de contact

Il est tentant de se rendre disponible pour garder ses clients satisfaits. Cependant, certaines personnes auront tendance à dépasser les limites qui vous semblaient implicites. Ce n’est souvent pas fait avec mauvaise foi ou intention, mais vous rencontrerez en effet probablement des clients qui vous contactent le week-end ou à des heures inappropriées. Si cela n’est pas justifié par un décalage horaire important, il faut poser ses limites dès que possible.

Voici mes conseils pour chaque début de collaboration : 

  • Définissez vos moyens de contacts privilégiés : emails, slack, whatsapp, sms…
  • Définissez vos jours et horaires de disponibilité,
  • Ne répondez jamais en dehors de ces horaires pour conserver les limites.

Je vous recommande d’éviter de privilégier Whatsapp, qui donne l’image que vous êtes disponible tout le temps, sauf si vous avez un whatsapp business. Vous pouvez en revanche le donner en précisant qu’il ne doit être utilisé que pour les urgences.

S’il s’agit de votre numéro personnel, par précaution désactivez l’option “dernière connexion à” qui permettrait à votre client de savoir quand vous avez été en ligne. 

Ne pas accepter de se sous-vendre

Il n’est pas rare de se voir proposer une réduction du tarif sous prétexte que le client vous donne beaucoup de travail. Il peut sincèrement avoir l’impression que cette demande est légitime.

Bien sûr, en tant que freelance cela n’a pas d’intérêt : votre objectif à moyen terme est d’augmenter vos tarifs, et non pas d’accepter de travailler plus pour gagner moins. 

C’est pourquoi il est primordial d’être ferme à ce sujet. En revanche, vous pouvez faire une proposition différente en fonction de son budget.

Si la demande de réduction émane d’un client très fidèle, car il vous fournit exceptionnellement une grande quantité de travail supplémentaire, vous pouvez bien sûr faire un geste pour le fidéliser. Toutefois, ce geste doit être mesuré pour que vous restiez motivés à boucler la mission. 

Que faire en cas de conflit ?

Mon premier conseil en cas de conflit est de prendre son temps pour répondre. En effet, une réponse à chaud est rarement aussi maîtrisée qu’une réponse à froid.

Restez cordial et professionnel en toute occasion, en commençant par dire que vous avez lu le message avec attention. Expliquez votre point de vue et proposez d’en discuter par téléphone si besoin : cela rassure certains profils.

Lorsque vous travaillez pour une entreprise qui n’est pas la vôtre, l’image de marque ne vous concerne pas ou peu. En revanche, lorsqu’on se lance à son compte il est essentiel de penser en amont à l’image que l’on souhaite renvoyer.

Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour une communication uniforme et une image de marque qui soit présente dans les esprits.

Qu’est-ce que le personal branding ?

En tant qu’indépendant, on parle davantage de personal branding que de “branding”. 

Pour bien faire la différence, le branding est une stratégie visuelle qui permet de créer un univers autour d’une marque. La charte graphique et l’ensemble de l’identité visuelle (logo, typo, coloris…) de la marque constituent donc le branding. Le personal branding signifie que la personne à la tête de l’entreprise (vous) devient sa propre marque. C’est votre nom et votre image qui sont directement associés aux moyens de communication.

En effet, il est possible de se mettre en avant pour sa communication. Après tout, en tant que freelance, vous représentez une plus-value à votre entreprise. Si vous ne souhaitez pas apparaître, vous pouvez tout de même jouer sur plusieurs méthodes de communication pour vanter vos services et appuyer votre image de marque.

Le personal branding permet donc de communiquer sur ses valeurs et sur l’identité de marque.

Définir son image de marque étape par étape

Pour définir son personal branding, il faut avant tout réfléchir aux valeurs que l’on souhaite transmettre, à son identité visuelle et à ses objectifs. Il est donc primordial d’avoir une vision objective de ses compétences et de sa valeur ajoutée.

  1. Faire le point sur son offre

Avant toute chose, vous devez pouvoir définir clairement votre offre. Quels sont vos services et quelle est votre valeur ajoutée ?

Quelles sont vos spécialités, et quelles compétences souhaitez-vous mettre en avant ? En effet, un bon personal branding vous permettra de travailler davantage sur les missions qui vous plaisent et de laisser de côté celles qui vous passionnent moins.

Regardez également votre positionnement sur le marché. De cela va dépendre le choix de couleur de votre charte et le ton à employer dans vos outils de communication.

  1. Faire le point sur ses objectifs et son client cible

Il y a presque autant d’objectifs différents qu’il y a de freelances. Il est important de définir le vôtre car il va ensuite orienter le choix de votre branding.

Par exemple, si vous voulez trouver de nouveaux clients grâce à la prospection active, votre discours sera différent par rapport à la recherche de viralité de vos posts.

Définissez ensuite votre client cible : on ne communique pas de la même façon si on s’adresse à des jeunes mamans ou à des entreprises de finance. Ce point est très important pour le choix de la charte graphique de votre entreprise.

  1. Trouver son nom de marque

En tant que freelance, il est courant de communiquer avec son nom complet. L’avantage est que cela permet directement de communiquer avec sa propre personnalité.

Toutefois, cela peut être limitant à terme si vous souhaitez développer une entreprise plus conséquente. Dans ce cas, il est conseillé de réfléchir au plus tôt à un nom de société.

Créer son identité visuelle

Une fois que vos objectifs et vos valeurs sont clairement définis, il est temps de créer votre identité visuelle. Cette réflexion en amont va vous permettre, à vous ou votre graphiste, de faire les bons choix.

Voici donc une liste non exhaustive des outils à créer : 

  • Une charte graphique avec les couleurs et la typo : loin d’être anodin, le choix des couleurs renvoie directement et inconsciemment vers un univers. Par exemple, l’association du noir et du doré renvoie à une image de luxe,
  • Un logo : il peut s’agir d’un dessin ou de vos initiales. Il doit être facilement imprimable et convenir aux petits formats,
  • Supports de communication : la charte graphique doit être cohérente sur votre site web, vos réseaux sociaux, votre portfolio, vos cartes de visite, etc…

Pourquoi développer un personal branding fort ?

Le personal branding va être utile au développement de votre activité, à court ou long terme. En effet, une image de marque travaillée renforce le sentiment de confiance de vos prospects. Par exemple, un compte instagram actif démontre votre régularité et votre capacité à travailler sur le long terme.

L’écriture d’articles de blog sur votre site web va appuyer votre position d’expert. En parcourant votre site, votre potentiel futur client va être rassuré sur le fait que vous maitrisiez les sujets importants.

De même, un meilleur référencement va implicitement mettre en valeur votre expertise. 

L’importance de fédérer une communauté

Quel que soit votre domaine d’activité, fédérer une communauté n’est jamais du temps perdu. Au contraire, c’est la meilleure manière d’encourager le bouche à oreille sans même vous en rendre compte !

Il suffit qu’un proche d’un de vos followers mentionne le fait de rechercher un professionnel de votre domaine, et ce dernier va partager votre profil. C’est un excellent moyen de trouver facilement de nouveaux clients sans perdre de temps à prospecter. 

Mon conseil : réservez-vous de manière obligatoire un créneau pour préparer des articles ou des posts sur les réseaux sociaux. Programmez-les en avance pour optimiser votre temps et ne plus avoir à y penser. Il vous suffira ensuite d’engager avec votre communauté pour maintenir le lien. 

Quand on travaille en tant que freelance, il est important de créer et de conserver une image de marque et de se faire connaître auprès de potentiels nouveaux clients.

Communiquer sur les réseaux sociaux est un des moyens d’atteindre ces deux objectifs, et Linkedin peut vous apporter une véritable valeur ajoutée. Alors comment bien l’utiliser pour communiquer, et pourquoi ? Je vous dévoile tout dans ce nouvel article. 

Le fonctionnement général de Linkedin

Pour bien interagir avec d’autres comptes, il faut tout d’abord bien comprendre le fonctionnement de ce réseau social : 

  • Le fil d’actualités : il correspond à ce qu’on appelle le “feed” sur d’autres réseaux sociaux : c’est l’endroit où vous pouvez faire défiler l’ensemble des publications des personnes et/ou entreprises que vous suivez.
  • Les publications : aussi appelées “posts”, c’est le contenu partagé sur lequel vous pouvez interagir en commentant ou en mettant une réaction avec un émoji,
  • Les stories : ce format assez récent reprend le principe des stories Instagram. Il s’agit donc d’un post éphémère qui va ensuite disparaître,
  • Les relations : il s’agit des personnes qui constituent votre réseau. Il peut s’agir de personnes physiques ou bien d’entreprises,

Mon conseil : pour ajouter quelqu’un à votre réseau, cliquez sur “me connecter” à côté de son nom ou directement sur son profil.

Bien construire le contenu de son compte Linkedin

Quel que soit le biais, une stratégie de communication se construit. Plus elle sera réfléchie en amont, plus elle sera efficace, et c’est aussi le cas sur Linkedin. 

La première étape, et la plus importante, est de bien créer votre profil à la base : les personnes qui le visiteront pourront alors rapidement voir vos compétences.

Remplir son profil Linkedin

Lors de la création, ou bien après avoir consulté cet article, prenez le temps de remplir au maximum votre profil Linkedin. Plus vous en dites sur vous, plus vous créez de la confiance pour vos futurs clients.

Voici les principaux points à ne pas oublier : 

  • Une photo de profil à la fois professionnelle et attrayante. Il peut s’agir d’une photo portrait de vous, ou bien de votre logo si vous créez une page entreprise,
  • Une bannière : cette image de couverture peut vous permettre de montrer votre créativité ou votre savoir-faire. Bien sûr, choisissez les bonnes dimensions,
  • Votre cursus scolaire et vos expériences : n’hésitez pas à ajouter des détails.
  • Votre phrase d’accroche : ajoutez-y des mots-clés et soyez percutants, car la phrase d’accroche est consultée dans les résultats de recherche. 

Mon conseil : si vous êtes en recherche active de nouveaux clients, ajoutez la bannière “Open to work” qui apparaîtra directement sous votre photo de profil.

Demander à des anciens collègues ou clients de valider vos compétences

Un des grands avantages de Linkedin est qu’il est possible de faire valider ses compétences par des anciens collègues ou des clients. 

Pour chaque compétence ajoutée, vous pouvez obtenir des “+1” : les visiteurs de votre profil y accorderont alors une plus grande crédibilité. 

Développer son réseau et faire connaître son profil

Une fois votre profil créé, complété et optimisé, il est temps de le mettre en avant à travers différentes méthodes.

Partager du contenu

Partager du contenu est un moyen de créer de l’engagement et de la viralité, et peut aussi vous permettre d’asseoir vos compétences dans le milieu.

Les idées de posts ne manquent pas :

  • Partage de vos articles de blog,
  • Récit de vos succès professionnels,
  • Études de cas et résultats obtenus,
  • Éventuels échecs, et comment vous avez surmonté la difficulté,

Bien sûr, ajoutez des “call to action” qui suscitent l’engagement : posez des questions, demandez un avis, partagez un lien vers votre site web, etc. 

Interagir avec les autres profils

Comme chaque plateforme sociale, l’interaction doit se faire dans les deux sens. Il est important de communiquer sur LinkedIn, mais aussi d’interagir avec les autres profils. C’est le moyen de créer du lien et de vous faire remarquer. Pour cela, n’hésitez pas à commenter les publications des autres personnes ou d’entreprises. Cela vous permet de vous faire connaître, et peut-être d’échanger avec des professionnels du même milieu.

Vous pouvez également interagir avec les publications en utilisant des emojis de réaction. C’est un moyen rapide d’interagir même quand vous avez peu de temps.

Enfin, vous avez désormais la possibilité de partager un post simplement ou avec commentaire directement sur votre profil. Cela vous permet de rebondir sur des publications rédigées par d’autres comptes, et d’afficher votre expertise.

Quelques informations sur l’algorithme de Linkedin

Pour optimiser votre compte Linkedin et les retombées futures, il est nécessaire de connaître quelques notions sur l’algorithme.

Tout d’abord, le réseau social apprécie ceux qui contribuent à son succès. En d’autres termes, plus vous engagez, commentez et likez, plus vous serez récompensé. De plus, les comptes qui remarquent votre assiduité dans les commentaires vous le rendront sur vos propres publications. 

Lorsque vous publiez un post, il est tout d’abord montré à une petite partie de vos contacts. En fonction du nombre d’interactions reçues les premières heures, Linkedin va décider de mettre en avant ou de faire disparaître votre post des différents fils d’actualités. C’est pourquoi plus votre contenu est engageant, plus il sera diffusé, et plus vous pourrez espérer atteindre la viralité. 

Bien communiquer sur Linkedin : mes derniers conseils

Comme pour toute stratégie de communication, il est primordial de prévoir un calendrier éditorial afin de poster de manière réfléchie et régulière.

Une fois votre ligne éditoriale définie, vous pouvez programmer vos posts en avance pour ne rien oublier, depuis LinkedIn directement ou sur des outils de social media management comme Buffer ou Hootsuite.

Une des difficultés premières du freelance est de connaître sa véritable valeur, et de l’affirmer. Le syndrome de l’imposteur ou les remarques négatives de son entourage peuvent souvent générer des doutes à l’heure de changer de vie professionnelle.

Pourtant, connaître sa valeur est indispensable : c’est ce qui vous permet de définir votre grille tarifaire et de vous placer en tant qu’expert sur vos sujets sans douter de vous.

À travers cet article, je vous guide sur comment connaître sa valeur en tant que freelance.

Connaître sa valeur : deux types de profils 

Il faut tout d’abord différencier deux types de personnalités : celles sujettes au syndrome de l’imposteur, et celles qui ont un surplus de confiance.

Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?

Assez fréquent chez les travailleurs indépendants, le syndrome de l’imposteur peut constituer un véritable frein pour sa carrière professionnelle. 

En effet, une personne sujette au syndrome de l’imposteur aura tendance à se sous-évaluer, voire à se dévaloriser. Il est alors difficile de reconnaître ses véritables forces et ses qualités. 

Une des pensées récurrentes des personnes victimes de ce symptôme, est l’impression de réussir par chance et de faire croire qu’on est bon. Encore pire, nous avons alors le sentiment que nos clients vont nous démasquer et se rendre compte de l’imposture.

En somme, le syndrome de l’imposteur est un ensemble de pensées parasites qui peuvent mettre à mal notre confiance en soi, au point de nous faire perdre des clients en refusant des missions pourtant accessibles. Pourtant, les personnes sujettes ne sont pas les moins compétentes, loin de là !

Qu’est-ce que le “trop-plein” de confiance ?

À l’inverse, certaines personnalités ont ce qu’on appelle un “trop-plein” de confiance. Paradoxalement, cela touche principalement les débutants. 

Ces profils proposent des tarifs trop élevés malgré le manque d’expérience, et pensent presque tout savoir sur leur sujet. L’important, si tel est votre cas, est de réussir à s’en rendre compte pour sortir de ce schéma et proposer des tarifs justes et cohérents par rapport à vos compétences et à votre expérience.

Il faut alors accepter que nos compétences basiques ne se transformeront en expertise qu’avec le temps, l’expérience, et bien sûr les erreurs ! Rassurez-vous, 100% des freelances commettent des erreurs à un moment de leur parcours, et ce n’est pas grave. L’important est de savoir les définir, les corriger, et se servir de cette expérience pour grandir.

Comment définir sa valeur en tant que freelance ?

Mais alors, comment trouver l’équilibre et trouver sa juste valeur ? Là encore, vous ferez des erreurs ! 

Faire une veille du marché

Le meilleur moyen de vous ajuster est tout d’abord de comparer les tarifs du marché. Par exemple, sur Malt vous pourrez consulter le tarif journalier proposé par les freelances de votre secteur en fonction de leurs compétences et de leur expérience.

Observer les signes envoyés par vos clients

La satisfaction client doit être une de vos priorités. Observez vos échanges, et apprenez à apprécier les compliments.

Si un client vous fait part de sa satisfaction, c’est que vos prix et vos compétences sont justes et pourront être augmentés l’année suivante.

Si votre activité s’étend sur plusieurs domaines (par exemple, la prise de photographies, la retouche, la prise de vidéos, etc), ajustez vos tarifs en fonction de vos compétences pour chacun de ces domaines. Vous êtes forcément meilleur sur certains sujets, et c’est tout à fait normal ! 

De même, un client qui vous reste fidèle et qui vous propose de nouvelles missions est par définition satisfait de votre offre et de votre travail. 

Augmenter ses tarifs

Lorsque vous êtes conscients de la valeur de votre travail, vous pourrez augmenter vos tarifs. Bien sûr, cela ne se fait pas directement après avoir accepté une mission. En revanche, après environ un an, n’hésitez pas à prévenir votre client de l’augmentation.

Un client satisfait ne négociera pas une augmentation juste : il faut bien sûr éviter de passer du simple au double. Justifiez cette hausse par l’inflation, l’augmentation du coût de la vie, mais également par l’acquisition de nouvelles compétences ou les résultats obtenus.

Une fois votre grille tarifaire remise à jour, vous aurez moins de mal à justifier votre valeur ou à refuser des clients qui veulent vous payer moins cher. 

Enfin, n’augmentez pas drastiquement vos tarifs sur une compétence dont vous n’êtes pas certain. De même, n’acceptez pas de missions que vous n’êtes pas sûrs de pouvoir réaliser. Un délai de livraison plus long ou un résultat moyen risquent de faire fuir votre client définitivement. 

Si vous n’avez pas une compétence demandée, exprimez-le clairement. Vous gagnerez en crédibilité, car votre client saura que quand vous acceptez une mission, vous possédez les compétences qui vont avec. 

Augmenter votre valeur

Il n’y a pas de secrets, pour augmenter votre valeur il faut vous former ! Plusieurs options s’offrent à vous : 

  • Les formations gratuites, souvent générales et en ligne,
  • Les formations payantes. Certaines formules se font en toute indépendance, d’autres proposent un accompagnement par un professionnel.

Spoiler Alert : tout le monde n’est pas fait pour devenir freelance. Mais si la liberté de travailler à votre rythme et comme vous le souhaitez est votre rêve, il y a un mindset à développer et à cultiver.

Avoir un bon état d’esprit est la clé de la réussite pérenne pour remplir vos divers objectifs. Je vous dévoile dans cet article le bon état d’esprit à avoir pour réussir sa vie de freelance. 

Pourquoi le mindset est-il essentiel à la vie d’un freelance ?

En anglais “mindset” signifie “état d’esprit”. C’est un mot qu’on entend très souvent dans le développement personnel car il est la clé de la construction de la pensée positive et créatrice.

Aussi bien pour atteindre vos objectifs que pour fixer des tarifs justes, le mindset va être indispensable. Il permet de ne pas succomber au syndrome de l’imposteur, au manque de confiance en soi ou à la peur de l’échec. Même si ces derniers ne sont pas réservés qu’aux freelances, ils ont moins d’impacts sur la vie d’une personne salariée qui a un salaire fixe à la fin du mois.

Comment avoir et garder un état d’esprit fait pour le freelancing ?

Les doutes, les remises en questions, les périodes de stress, mais aussi les périodes de grande productivité et de confiance en soi sont des étapes normales dans la vie de tout freelance.

Chaque nouveau client représente un challenge à relever et une opportunité de vous améliorer. Voici donc quelques pistes pour garder le bon mental en tant que freelance.

Connaître votre valeur et vos compétences

Ce qui, au fond, vous permettra de croire en vous et de surmonter toutes les difficultés, c’est avant tout de croire en vos compétences. Mais pour cela il faut les connaître ! 

N’hésitez pas à faire une liste de tout ce que vous savez faire, même les plus petits détails. Une fois que vous n’avez plus d’inspiration, classez vos compétences par catégories et donnez-vous une note sur cinq (par exemple, pour un photographe, donnez-vous une note sur la maîtrise de chaque logiciel photo). 

Si vous pensez que certaines lacunes vont freiner votre développement, formez-vous ! D’ailleurs, je vous dis tout dans ma formation pour devenir freelance. Être sûrs de vous, c’est le point de départ pour pallier tous les obstacles que vous rencontrerez en tant que freelance.

Connaître vos croyances limitantes

Une croyance limitante est à l’origine une pensée, mais que nous finissons par croire réelle. Elle peut venir de mots souvent entendus, de l’influence d’autres personnes, de l’éducation, etc.

L’accumulation de croyances limitantes peut freiner notre développement et faire diminuer la confiance en soi, ou la croyance que les rêves peuvent se réaliser. 

Les croyances limitantes les plus connues sont “je n’ai plus l’âge pour me lancer”, “je ne réussirai pas”, “je ne suis pas assez indépendant pour réussir”, “je ne mérite pas de réussir”, etc.

Les croyances limitantes se combattent au quotidien : une fois identifiées, il faut tout simplement répéter le contraire. 

Apprendre à ne pas baisser les bras

La vie de freelance n’est pas un long fleuve tranquille. Elle est une succession de périodes d’énergie, de productivité et de réussites, et de périodes plus difficiles, ou des clients plus compliqués peuvent apparaître. Et c’est normal !

Quelles que soient les difficultés rencontrées, apprenez à ne pas baisser les bras. En revanche, osez souffler et prendre du recul. Vous êtes en difficulté sur une mission ? Prenez l’air, faites une pause, aérez-vous l’esprit, puis revenez plus tard.

Accordez-vous le temps nécessaire pour ne pas réagir à chaud, et ne pas baisser les bras. La recherche de solutions va vous amener de nouvelles compétences et vous obligera à sortir de votre zone de confort. Ces passages désagréables ne vous rendront que plus forts et sûrs de vous ! 

Booster sa confiance en soi

Il est parfois difficile d’avoir confiance en soi, surtout quand on se lance dans le freelancing. Mais après quelques mois d’activité, il est primordial que vous ne doutiez plus de vos capacités.

Pour cela, si vous avez tendance à douter, voici quelques petites actions simples à mettre en place : 

  • Notez sur un tableau tous vos succès,
  • Affichez les mots gentils de vos clients, comme des mantras motivants,
  • Pensez à votre évolution en quelques années,
  • Prenez conscience que vous êtes en train de créer la vie de vos rêves.

S’entourer des bonnes personnes

Il n’y a pas de secret, être entouré des bonnes personnes permet de tenir le cap. Un entourage positif, bienveillant et qui croit en vous va décupler vos forces comme par magie ! 

N’hésitez pas également à vous entourer de professionnels qui auront envie de vous tirer vers le haut. 

Identifiez les personnes qui croient en vous et qui vous poussent vers vos rêves. Ce sont eux qui vont vous permettre de les atteindre.

Ne rien lâcher

Même si les difficultés s’accumulent, ne lâchez rien ! La persévérance vous mènera vers la réussite. C’est ce qui vous permettra de ne pas vous décourager lors d’un éventuel coup dur.

Si vous sentez que votre volonté faiblit, repensez aux raisons qui vous ont poussé à devenir freelance. Était-ce l’envie de gérer votre propre emploi du temps ? De gagner plus d’argent ? D’avoir plus de temps libre pour vos passions ou votre famille ?

Ne perdez pas de vue votre “pourquoi” pour atteindre vos objectifs.

Une bonne organisation est la clé de l’efficacité dans tout type de travail, salarié ou freelance. Mais quand vous êtes à votre compte, l’organisation est cruciale car elle va vous permettre de générer la satisfaction de vos clients et l’augmentation de votre chiffre d’affaires. 

Apprendre à bien s’organiser et travailler est donc essentiel quand on se lance à son compte, mais il est important de ne pas oublier de toujours se réajuster en cours de route. Souvent, par manque de temps et avec “la tête dans le guidon”, on oublie de se recentrer et de checker les potentiels moments de perte de temps.

Voici donc quelques conseils pour s’organiser au mieux en tant que freelance. Si vous avez besoin d’un suivi plus poussé, n’hésitez pas à rejoindre ma formation pour devenir freelance.

Organiser ses journées en tant que freelance

Devenir freelance, c’est avoir l’occasion rêvée d’organiser son emploi du temps (presque) comme on le souhaite. Bien sûr, il existe certaines contraintes en fonction de vos missions et de vos clients.

Voici quelques conseils pour ne pas vous éparpiller et travailler de manière efficace afin d’atteindre vos objectifs.

Respecter son rythme biologique

Si vous avez connu une activité salariée, vous avez sûrement remarqué que tous vos collègues ne se ressemblaient pas : certains étaient “du soir”, et d’autres “du matin”. 

Travailler en tant que freelance est une vraie chance de suivre son rythme biologique, car ce dernier ne peut pas être complètement modifié : vous êtes nés comme ça. Apprenez à vous connaître, et privilégiez le travail lorsque vous êtes en forme. 

Vous êtes plutôt du matin ? Alors mettez votre réveil et travaillez, en vous accordant des pauses au fil de la journée. Vous savez alors qu’il ne faut pas réserver les tâches les plus difficiles en fin de journée. 

Si au contraire, vous êtes du soir, autorisez-vous des grasses matinées mais travaillez beaucoup le soir. En revanche, évitez d’envoyer des emails après 19h : vous pouvez les programmer pour qu’ils s’envoient le lendemain. 

Prévoir ses tâches la veille (au minimum)

Pour gagner en productivité, il est important de savoir exactement ce qu’on doit accomplir pendant sa journée de travail. Et il est facile d’oublier une de ses missions, surtout quand on est débordé.

Selon vos préférences, vous pouvez fonctionner via des To-Do lists, ou utiliser des applications comme Asana ou même l’option “To Do” de Outlook.

Chaque jour, parcourez vos tâches et réalisez-les par ordre de priorité ou de difficulté.

Rester concentré

Quand on travaille de chez soi, les tentations et les distractions sont nombreuses. Voici donc quelques conseils pour rester concentré :

  • Avoir un bel espace de travail lumineux et aéré. En plus, un bureau bien aménagé vous évitera de perdre du temps et vous motivera davantage à travailler.
  • Investir dans un casque antibruit si besoin,
  • Mettez votre téléphone en mode silencieux pour ne pas être distrait par les notifications,
  • S’autoriser des pauses quand le cerveau sature : mieux vaut prendre 10 minutes de pause que de travailler sans concentration pendant une heure. D’ailleurs, il existe une méthode nommée “Pomodoro”, qui consiste à travailler pendant 25 minutes puis à faire 5 minutes de pause. Vous pouvez utiliser un timer pour ne pas manquer vos temps de pause.

Traitez vos emails

On a tendance à oublier de consulter ses nouveaux emails lorsque le travail s’accumule. Pourtant, il peut s’agir d’informations urgentes ou de nouvelles demandes de clients.

Chaque jour, prévoyez absolument un créneau de 15 minutes minimum pour consulter vos emails. Même si vous ne pouvez pas tous les ouvrir, parcourez en un clin d’œil les plus importants pour ne pas vous laisser déborder. Le reste de la journée, fermez l’onglet de vos emails pour ne pas vous laisser déconcentrer par les notifications successives. 

En revanche, fixez vos limites avec vos clients et ne répondez pas à tout moment du jour et de la nuit.

Évitez le multitâches

Vouloir faire plusieurs choses à la fois est rarement une bonne idée en freelancing, et encore moins de travailler sur plusieurs clients à la fois. Gare aux erreurs !

C’est pourquoi il est primordial de savoir quoi faire dans votre journée, et d’organiser votre travail en conséquence, une tâche à la fois.

N’hésitez pas à alterner les tâches longues et les tâches courtes pour avoir la satisfaction du travail accompli, qui vous donnera encore plus de motivation !

Les outils pour s’organiser en tant que freelance

De nombreuses applications et outils en ligne existent maintenant pour vous faciliter la vie en tant que freelance. Certaines sont payantes, ne sélectionnez que celles dont vous avez vraiment besoin.

Asana

Asana est un outil de gestion de tâches, qui est très pratique quand on travaille en équipe.

L’outil permet d’attribuer une tâche à un collaborateur en indiquant une date de fin. L’interface permet directement de savoir ce qu’il y a à faire.

Trello

Trello est un outil idéal pour le suivi de projets. Il s’utilise seul ou en équipe.

Il fonctionne à travers un système de cartes, qu’il faut faire glisser à l’étape suivante lorsque la mission est effectuée. Il est possible de tagguer et de communiquer avec ses collaborateurs. 

Trello est idéal pour que toute l’équipe aie une vision d’ensemble d’un projet.

Facture.net

Si la gestion des factures est votre point faible, n’hésitez pas à utiliser un outil en ligne tel que facture.net. 

Il vous permettra de gagner du temps afin de pouvoir vous consacrer à vos missions.

Toggl

Cet outil de timetracking vous permet de savoir exactement combien de temps vous travaillez pour chaque client. Il est idéal pour vos bilans mensuels, afin de connaître votre taux horaire si le prix est fixe.

Bien sûr, vous pouvez obtenir le même résultat gratuitement en notant tout sur un tableau Excel, mais cela demande de la rigueur.

C’est toutefois indispensable pour réajuster vos prix si nécessaire. Le risque avec les missions au forfait est en effet de mal estimer le temps de travail nécessaire. 

Clockify.me

Si vous recherchez un timetracker gratuit et efficace, optez pour clockify.me ! C’est mon préféré et celui que j’utilise au quotidien. 

Il est très complet et vous permet de suivre l’avancement de vos tâches au jour le jour ! 

Quand on travaille en tant que freelance, il faut bien sûr définir son offre et ses spécialités. Mais très vite, il devient utile d’analyser les autres offres proposées en réalisant un mapping concurrentiel.

Comment faire un mapping concurrentiel quand on est freelance ? Je vous donne mes conseils. 

Qu’est-ce qu’un mapping concurrentiel ?

Le mot “mapping” vient de “map”, qui signifie carte en anglais. Ainsi, le mapping concurrentiel consiste à faire une étude de la concurrence sous une forme graphique, qui permet ensuite de voir au premier coup d’œil les actions à mettre en place pour se démarquer. 

Ce mapping se réalise au moment de l’étude de marché. On place sur un graphique comprenant deux axes ses principaux concurrents en fonction de critères prédéfinis. Cela permet de voir les points communs et différences entre les marques, entreprises, ou dans notre cas, les freelances.

Les critères possibles d’un bon mapping

Exemple mapping concurrentiel

En fonction de votre domaine d’activité, les dénominations des axes de votre mapping peuvent être différentes. En effet, un graphic designer n’aura pas la même façon de communiquer qu’un codeur en informatique.

Voici une liste non-exhaustive de critères qui correspondent au monde du freelancing : 

  • Local / National (ou international)
  • Une spécialité / offre diversifiée
  • Fort personal branding / peu de personal branding
  • Tarif journalier élevé / tarif journalier faible
  • Type de clients : PME / Type de clients : grandes entreprises

Comment trouver ses concurrents en tant que freelance ?

Il y a plusieurs méthodes simples pour comparer rapidement vos concurrents entre eux, ou par rapport à votre activité. 

Faire une étude de concurrence sur Google

Selon votre positionnement, il suffit de taper des mots dans la barre de recherche. Par exemple, si vous souhaitez vous positionner sur votre zone géographique vous pouvez taper “freelance informatique Caen”, ou “freelance webdesigner Lyon”. 

De cette manière, vous pourrez consulter les sites web des autres personnes et voir les services proposés, ou même la présentation de ce dernier. Vous pourrez ainsi noter toutes les idées qui vous plaisent et vous en inspirer pour votre propre site. 

Consulter les sites de mise en relation freelance

En regardant les plateformes de freelancing, vous pourrez généralement voir les tarifs de vos concurrents ainsi que leurs offres. 

Par exemple, sur Malt, Upwork ou Fiverr, vous pourrez consulter le tarif journalier en fonction de l’expérience. 

C’est aussi un bon moyen de s’inspirer du personal branding de vos concurrents, pour rédiger des descriptions attrayantes.

Enfin, grâce à ces sites regroupant profils de freelances et offres d’entreprises, vous pourrez rapidement analyser quelles sont les tendances actuelles du marché. 

Regarder les profils sur Linkedin

S’inscrire sur Linkedin est un incontournable pour booster sa vie professionnelle quand on se lance en freelance. C’est aussi un réseau social parfait pour observer les compétences de chacun et les parcours professionnels.

Grâce au moteur de recherche intégré vous pourrez facilement trouver des profils de freelance aux activités similaires aux vôtres.

Analyser la concurrence pour mieux se démarquer

Grâce à l’observation des différents profils, vous avez dû remarquer les personnes qui se rapprochent du vôtre.

C’est le moment de comparer vos expériences, vos offres, et vos tarifs, afin de faire le point sur ce que vous pouvez apporter en plus.

1ère étape : identifier les concurrents proches

En identifiant les concurrents les plus proches de soi (en fonction des critères choisis), il est facile de se rendre compte des forces et faiblesses de chacun. Généralement, étudier votre concurrence vous aidera à définir ce que vous ne voulez pas faire, et quelles sont les personnes qui pourraient être votre concurrent direct.

Cela vous permettra d’orienter vos axes d’amélioration de manière à avoir l’offre la plus qualitative possible. Si votre secteur est très concurrentiel, il est parfois préférable de changer d’axe pour se diriger vers un domaine où il y a moins d’offres.

2ème étape : augmenter sa part de marché

Pour limiter au maximum la concurrence directe, il faut choisir une part de marché disponible et dans laquelle il est possible de grandir.

Par exemple, si vos concurrents sont majoritairement positionnés sur une offre moyen de gamme, vous pouvez envisager de passer sur du haut de gamme. À vous de voir en fonction de votre mapping et de votre marché les opportunités à prendre pour vous démarquer. 

Mapping concurrentiel en freelance : le mot de la fin

Bien sûr, le mapping concurrentiel est un travail interne qui vous servira à vous et ne sera pas communiqué publiquement, puisqu’il s’effectue au début du lancement de son projet de freelance. Il permet de vous guider sur le positionnement à adopter et les offres à proposer.

Cependant, il est important de continuer à étudier la concurrence pendant tout son parcours de freelance pour veiller à ne pas avoir de retard sur les dernières tendances.

Cela vous permettra aussi de voir ce qui fonctionne chez les autres et que vous pourrez appliquer pour fixer vos objectifs, mais aussi ce qui ne fonctionne pas du tout. 

N’hésitez pas à noter les concurrents que vous étudiez, de manière à comparer les mêmes critères à chaque nouvelle recherche. 

Lorsqu’on débute en tant que freelance, de nombreuses questions se posent, comme “comment bien définir ses objectifs ?” ou “Comment trouver ses premiers clients ?”.

Mais la question des prix est toujours celle qui soulève le plus de questions. Sur Internet, certains secteurs, comme les prestataires de services marketing, cachent bien leurs tarifs et prix pour leurs différents services. Impossible quand on se lance d’avoir un peu d’inspiration, ou de savoir comment bien tarifer ses services. Alors, quelle réflexion mettre en place pour fixer ses prix en freelance ?

Dans cet article, je vous guide sur l’importance de bien fixer ses tarifs en tant que freelance et je vous livre mes conseils pour trouver le prix juste pour vos missions.

Les questions à se poser pour définir ses prix en freelance

Avant de fixer vos prix, vous devez réfléchir à plusieurs paramètres évidents. Par exemple, quel est le prix minimum pour lequel vous acceptez de travailler ? Il s’agit ici d’un prix “psychologique” important, car en dessous vous n’aurez pas la motivation nécessaire pour mener à bien vos missions. Vous pouvez par exemple vous posez cette question pour votre tarif horaire, ou par rapport à une prestation donnée.

Faites ensuite le calcul de vos charges, puis réfléchissez au “reste-à-vivre” que vous souhaitez avoir. Ce montant va vous permettre d’affiner vos objectifs en termes de facturation pour vivre correctement.

Parmi les charges, il faut penser à : vos cotisations sociales, le prix des logiciels ou des ressources nécessaires à votre activité, votre loyer ou crédit, et vos factures fixes. Selon que vous soyez sous le régime de la micro-entreprise ou que vous ayez un statut société, le montant des charges sociales oscille entre 22% et 50%.

Important : le régime de micro-entreprise ne permet pas de justifier de dépenses professionnelles, et ainsi de récupérer une partie lorsque vous payez vos impôts. Ce critère est à prendre en compte lorsque vous devez choisir votre statut juridique de freelance et calculer en amont les différentes charges mensuelles que vous aurez.

Les différentes manières de fixer ses tarifs

Il existe différentes manières de fixer ses tarifs, notamment : le taux horaire, le taux journalier et le forfait. À vous de réfléchir à l’option la plus intéressante en fonction de chaque client. En effet, rien ne vous empêche de facturer un client au forfait et un autre à l’heure ! 

Définir son taux horaire

Il s’agit du taux horaire minimum pour lequel vous acceptez de travailler. N’oubliez pas que le taux horaire est donné “brut”, il faudra donc ensuite retirer les charges pour obtenir votre taux horaire net.

Si vous avez tendance à travailler vite, il n’est pas forcément intéressant pour vous de facturer à l’heure. En revanche, pour un client qui a tendance à demander de nombreuses modifications, il sera plus intéressant de lui proposer un taux horaire. 

Bon à savoir : n’oubliez pas que le taux horaire n’inclut pas le travail “non-facturé” à faire autour d’une mission : préparation de devis, facturation, échanges de mails hors travail, etc.

Définir son taux journalier

Lorsqu’on débute et qu’on s’inscrit sur des plateformes de mise en relation entre entreprises et freelancers, c’est parfois le taux journalier qui est demandé. C’est le cas sur Malt par exemple.

Le taux journalier peut être plus délicat à fixer selon les clients : en effet vous devez être prêts à répondre à plusieurs questions : combien d’heures de travail comprend une journée, s’agit-il de travail effectif ou pas…

Je vous conseille donc plutôt de fonctionner au forfait.

Définir un forfait

Lorsque vous pensez travailler trop rapidement pour que le taux horaire soit intéressant pour vous, vous pouvez négocier au forfait.

Dans ce cas, c’est à vous de bien réfléchir en amont à la totalité du travail à fournir, et à estimer le temps passé. N’oubliez pas de prévoir une marge pour les éventuels imprévus. 

Le risque ? Faire une mauvaise estimation et y passer beaucoup plus de temps que prévu, ce qui fera baisser votre taux horaire… Je conseille absolument d’établir un devis, ou de rédiger un mail avec la liste précise des missions à effectuer. Cela vous protègera en cas de conflit ou de litige. 

Comment savoir si vos tarifs sont justes ?

Au début, il est courant de se sous-estimer, et d’accepter des missions parfois sous-payées. Pour ne pas faire cette erreur, il est primordial de connaître sa valeur et ses forces

Le premier indicateur sera la réaction de vos prospects. Refusent-ils tous vos propositions, ou les négociations sont-elles courantes ? Au contraire, acceptent-ils sans discuter ? Dans ce cas, il peut s’agir d’un bon indicateur que vos tarifs ne sont pas justes.

Il est difficile, voire impossible, de connaître les tarifs de vos concurrents dans le cas de prestations de services (pour la vente de produits, la comparaison est au contraire très simple).

Toutefois, la plateforme Malt peut vous indiquer les forfaits journaliers pratiqués par les professionnels de votre secteur en fonction de leur expérience. 

À ne pas oublier : n’oubliez pas qu’en tant que freelance, vous passez aussi de nombreuses heures non rémunérées à travailler : gestion des factures, prospection, déplacements… Vous n’avez également plus de congés payés. Tout cela doit vous permettre de justifier vos prix. 

Comment augmenter mes tarifs ?

Il est toujours plus simple de bien négocier dès le début d’une collaboration, que de revoir ses prix à la hausse par la suite. En effet, lors d’une hausse de tarif, on ne peut pas doubler du jour au lendemain, ni demander une augmentation tous les mois…

Il peut être possible cependant de négocier de nouveau ses tarifs à la hausse après 1 an ou plusieurs années de collaboration. C’est normal puisque votre business a évolué, tout comme vos compétences et ressources.

Si vous êtes un jour dans la situation d’augmenter vos tarifs, amenez à votre client les raisons de l’augmentation, sans que cela soit négociable cependant. Pour cela, il est toujours aussi important de connaître ses forces et sa valeur.

Vous pouvez mettre en avant vos compétences, le coût de vos ressources (logiciels, employés), votre maîtrise des sujets ensemble, ainsi que la durée de votre collaboration.

Vous pouvez également mentionner l’inflation générale, l’augmentation du coût des logiciels que vous utilisez pour lui, ainsi que de nouvelles formations éventuellement passées avec succès.

En mettant tout cela en avant, et en proposant une augmentation juste, vos clients accepteront la plupart du temps sans aucun problème.

Devenir freelance est un changement de vie qui n’affecte personne de la même façon. Pourtant, certaines règles de base peuvent vous aider à bien réussir votre lancement en freelance, quel que soit votre nouveau métier. Et oui, bien vous lancer en tant que freelance, ce n’est pas simplement annoncer votre nouvelle vie à tout le monde ! Avant, un gros travail de préparation vous attend pour être sûr.e que votre nouvelle activité décolle rapidement.

Zoom sur les 5 étapes qui vous aideront à réussir votre changement de carrière en travailleur.se indépendant.e.

Définir votre niche et étudier votre marché

Définir votre niche

Quand on démarre en freelance, on sait généralement ce dans quoi on veut se lancer. L’idée de devenir freelance part souvent d’une envie de concrétiser un métier, d’obtenir une plus grande liberté, ou bien de travailler à 100% dans un secteur qui nous plaît.

Vous avez généralement conscience de la niche dans laquelle vous aimeriez vous lancer : marketing, graphisme, photographie, pâtisserie, création d’une marque de prêt-à-porter…

Lorsque vous définissez la niche dans laquelle vous vous lancez, il est important d’être spécifique. Vous spécialiser en freelance vous aidera à vous démarquer face à des profils couteaux-suisses, et à asseoir votre valeur ajoutée. Vous vous positionnerez en tant qu’expert et pourrez d’autant plus avoir un discours commercial clair.

Comment définir sa niche ?

  • Cherchez du côté de vos passions : qu’est-ce qui résonne en vous et qu’est-ce qui correspond à vos valeurs ?
  • Demandez-vous quelle est la compétence ou spécialité que vous aimeriez le plus mettre en avant 
  • Demandez-vous avec quel type de client vous aimeriez travailler : PME, start-up, grand groupe…

Définir votre niche vous aidera ainsi à savoir quelle offre vous aimeriez vendre.

Étudier votre concurrence

Même si votre projet est clair dans votre tête, il est primordial de faire vos recherches avant de démarrer. Vous n’êtes pas seul.e.s à être à votre compte dans ce secteur, et vous faites partie d’un écosystème qu’il est important d’étudier.

La première chose à faire est de vérifier si ce que vous souhaitez vendre se vend.

Il se peut que ce soit des choses très basiques comme des services en community management et marketing digital et vous savez dans ce cas qu’il y a toujours de la demande. Mais cela peut aussi être une niche très petite comme de la photographie culinaire, ou de la photographie d’animaux.

Dans ces cas-là, il faut savoir si ce que vous aimeriez proposer se vend ou non. Le meilleur moyen de le savoir est de voir si vous avez de la compétition.

Comment étudier votre compétition ?

  • Suivre / chercher sur Instagram des personnes qui travaillent dans le même secteur
  • Taper sur Google les requêtes sur lesquelles vous voulez être référencé
  • Chercher sur LinkedIn des personnes avec des postes que vous souhaitez viser

N’hésitez pas à concevoir un mapping concurrentiel avec les profils qui vous paraissent pertinents pour étudier leur offre, leurs points forts et leurs points faibles, et mieux définir votre propre proposition.

Créer votre offre

La seconde étape pour travailler à votre compte est de réfléchir à l’offre que vous aimeriez proposer.

  • Souhaiteriez-vous vendre des produits ou des services ?
  • Sous quelle forme aimeriez-vous vendre vos services : en présentiel, en ligne, sous forme d’abonnement, de forfait… ?
  • Quelle est votre proposition de valeur ?
  • A quel prix aimeriez-vous vendre ces services / produits ?

Vous poser toutes ces questions vous aidera petit à petit à construire votre offre de freelance.

Attention : pensez à une offre qui vous plaît, n’essayez pas de copier quelqu’un que vous avez étudié juste pour être sûre de plaire ! Vous allez exercer ce nouveau métier seul.e (au début) et au quotidien : autant choisir une offre dont vous êtes convaincu.e !

Définir une stratégie de vente

La stratégie de vente repose sur 4 piliers :

  • Votre clientèle cible
  • Votre offre
  • Vos canaux de vente
  • Vos canaux de communication

Maintenant que vous avez défini votre niche et votre offre, il se peut que vous ayez une petite idée du type de client que vous aimeriez avoir.

Il est certain qu’en vous lançant, une petite voix dans votre tête vous dit : « essaie de viser la clientèle la plus large, c’est comme ça que tu seras sûr de vendre ! » Cette petite voix ne pourrait pas mieux se tromper.

Que vous vendiez un produit ou des services, vous ne pourrez jamais plaire à toute le monde. Votre offre aura toujours plus d’impact sur une cible clientèle précise, et mieux elle est bien définie, plus vous aurez des chances de vendre.

Finalement, trouver ses premiers clients en tant que freelance, c’est un peu comme la pêche ! Vous n’allez pas lancer un filet de pêche au hasard au milieu de la mer ! Vous devez savoir ce que vous allez pêcher, et où lancer votre filet.

Afin de définir votre client cible, le mieux est de créer un persona client. Construire un persona client consiste à établir la fiche d’identité imaginaire de votre client idéal :

  • Nom
  • Genre
  • Âge
  • Éducation
  • Situation familiale
  • Ville
  • Métier
  • Loisirs
  • Problèmes
  • Solutions que vous offrez

Plus vous serez précis, plus vous saurez à qui vous adresser et quels canaux employer pour vendre vos services ou produits à votre client cible.

Définir une stratégie de communication

Non, ouvrir un site web et pleins de réseaux sociaux n’est pas adopter une stratégie de communication !

Oui, ces outils du web sont toujours utiles quand on démarre une activité et qu’on veut la promouvoir, mais il est important avant de savoir quelles plateformes sont le plus utiles pour vous.

Quand vous vous lancez en freelance, vous êtes généralement à votre compte. Votre temps est limité, et pour communiquer efficacement, il vous faudra faire des choix.

Voici mes conseils :

  • Choisissez une ou deux plateformes de réseaux sociaux pertinentes avec votre cible et votre offre, et investissez-les à fond
  • Site web ou pas ? Tout dépend de votre prospection et stratégie de vente ! Oui, il est possible de réussir sans site web au début.

Globalement, votre stratégie de communication doit contenir :

  • Les plateformes où vous communiquerez pour promouvoir votre activité
  • Votre ligne éditoriale
  • Votre fréquence de publications
  • Des stratégies pour convertir vos abonnés en clients

Comment bien vous lancer

Courage, vous êtes bientôt prêts pour officialiser votre nouvelle activité ! S’il n’y avait qu’un conseil que je garderais pour « bien » vous lancer serait le suivant : annoncez votre nouvelle vie de freelance en fanfare !

Famille, amis, collègues : ne soyez pas avares sur le démarrage de votre nouvelle activité, et activez le bouche-à-oreille pour commencer à vous faire connaître.

Si vous êtes consistant avec votre stratégie de communication et votre stratégie de vente, alors vous verrez petit à petit les fruits de vos efforts.

Vous aimeriez bénéficier d’un coup de pouce pour vous assurer que votre lancement soit un succès ? Je peux vous accompagner à établir toutes les bases de votre nouvelle vie de freelance. N’hésitez pas à jeter un œil à mes services, ou à me contacter sur Instagram, je vous répondrais avec plaisir !